Aide au développement personnel et spirituel / Soins énergétiques

Aller mieux dans sa vie. Sortir de ses problèmes
Progresser plus rapidement dans son évolution
Réponse à toute question concernant le bien-être, le développement personnel, spirituel et énergétique avec conseils et solutions. 
Aide également pour les problèmes d’ordre existentiel, ainsi que pour sortir d’un traumatisme, abus sexuel, d’un burn-out, guérir de son passé et à trouver la paix.

Soins énergétiques à distance
(13 ans de pratique)
Soulagement de maux, nettoyage du corps, ancrage, alignement, renforcement du système immunitaire, apaisement du mental et stabilité émotionnelle, déblocages de nœuds/densités, libération, déploiement de la conscience etc.
(Ne se substitue pas à un traitement médical).

0614842155 / eipho@live.fr
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17 novembre 2022

3 Hivers


L'hiver s'en vient. Le troisième dehors. Je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir. Ce n'est pas destiné à tout le monde. Au delà des apparences, cette expérience est très haute, tant symboliquement qu'évolutivement.
Non pas que la vie au campement soit dure en soi, c'est tout ce qui est vécu à côté. 
Non pas non plus que la vie soit paisible, à marcher tranquillement en ville ou dans la nature, à contempler les arbres ou les oiseaux. Ce n'est pas le cas. Ça a été vécu par le passé mais sûrement que je devais rattraper le temps perdu dans la grande agitation, là où il n'y a plus le temps d'apprécier le temps, dans la grande matière dense et sa conquête.
C'est tout ce qui a été traversé jusque là et la force qu'il y faut pour tenir, pour ne pas que le moral dégringole, pour ne pas perdre pied et ça été le cas car je n'avais pas la connaissance de ça, de cette maîtrise, pas le savoir de la finalité de l'histoire.
On ne peut parler de choses que l'on n'a pas expérimenté. De même, qu'on ne peut pas aider autrui de la manière la plus efficace sans avoir vécu ses problèmes et en être sorti.
J'ai goûté à la misère en plein nez, parce que la densité de la matière où je faisais mon expérience a été trop dure à vivre pendant 4 ans, avec 2 années dehors. Et je me suis jugé, n'arrivant pas à réussir dans cette misère matérielle que j'appelle la ville ou société humaine, j'ai fini par croire que c'était moi qui la vivait. Alors que de savoir se débrouiller avec peu, savoir vivre dehors est tout simplement riche et grandiose, pour peu que l'on fasse attention à ce que l'on fait, et encore faut-il avoir impérativement son campement dans la nature. Un savoir faire toujours amélioré depuis 2008. Merci pour ça. 
L'hiver approche, les jours de pluie sont des jours de galère, mais à présent il n'y a plus de baisse de moral car je reste centré et focalisé sur un objectif et ne laisse plus la place au moi-inférieur, qui lui aussi, et d'une façon très utile pour la suite, a été assez expérimenté. 
Là où ça a été le plus dur, indirectement ma fille m'a fait tenir. Sans elle, il y a longtemps que je serais retourné dans ma région : les Pyrénées Atlantiques. Beaucoup plus verdoyant, avec une nature plus luxuriante, plus énergétique et beaucoup moins peuplé, beaucoup plus calme, serein et peu électromagnétisé en comparaison. On peut s'y ressourcer et s'y régénérer nettement mieux. 
Mais la vie m'a envoyé ici. Et j'ai compris pourquoi. J'ai mis 1 an à m'y faire à Nice tellement c'était dur au début. Je crois finalement que je ne m'y suis toujours pas fait. Toutefois, cette ville m'a appris des choses et m'a donné force, ancrage et un amour bien plus grand.
C'est dans l'aide à la personne que j'éprouve le plus de bien-être actuellement. Quand on aide quelqu'un à qui ça fait vraiment du bien, on sent son retour et appréciation envers soi, on se sent utile. 
Il est cependant difficile de se comporter en machine. Quarante-cinq kilomètres par jour en moyenne, même le dimanche, à peu près 3h dans ma voiture au quotidien, toujours à bouger, toujours à avoir quelque chose à faire, j'y mange dedans tous les midis, parfois le soir mais rarement, et me soucier d'avoir assez d'argent, bien m'occuper de ma fille qui passe en priorité...
Or à présent, l'état d'esprit est centré sur la réalité, en paix, vers du meilleur.

"Yopopop les loulous, c'est papa ! Attention attention, je rentre à la maison, on me laisse passer, yopopop, yopopop !" 
Ça c'est la phrase que je dis fort en rentrant le soir au campement quand il fait nuit tous les 15 mètres, en claquant des mains pour prévenir les sangliers. Parfois, ça grogne dans les bosquets sur les côtés. La nuit, il y en a plein.
Je me disais à un moment que j'en avais marre de retrouver cette misère, tous les jours. Mais ce n'est pas le campement en soi la misère, c'est cette difficulté à subvenir aux besoins matériels sur ce monde, cette ville, ces sociétés humaines. Des besoins matériels d'une société malade et déconnectée de tout, qui impose sa marche à suivre à tous, où la vie est devenue un produit de consommation, un objet, car l'humain en devient un aussi, alors il traite la vie de même. 
Par chance évolutive, j'y ai fait une fille. Obligé d'y rester. Conquérir la matière était une continuité de mes envies. Une suite logique. Car bien entendu, il est question de conquérir sa propre matière, diviniser son corps. J'y étais arrivé dans la nature 13 ans plus tôt, ici je ne pensais pas que ce serait aussi dur, que je m'y perdrais autant, même pas comme Adattreya. Non non, c'était bien plus dur. Et j'écrirai bientôt la suite d'Adattreya, la suite de Choisir d'être Vie, et un livre sur la Méthode Robdar, quand je serai sorti de cette grande et ultime épreuve, et qu'encore une fois, ça devienne une victoire. 
Car ce qu'on vit, là où on le vit, est une question de puissance évolutive. Y a des paliers de réalisation, des ouvertures à des moi plus grands ou universellement plus vastes, et ça peut être sans fin. Même la conquête du bas est sans fin, car tout part du centre. L'évolution est concentrique, non pas verticale et encore moins uniquement vers le haut. 
La matière expérimentée correspond aux chakras. Ceux-ci grandissent tout le temps, ainsi la puissance de la matière expérimentée.
De ce fait, la matière change tout le temps en fonction de ce qui est fait ou non dans les chakras et de leurs étendues universelles. Et ce n'est pas une question de démonstration extérieure dans l'abondance de biens mais de réalisations intérieures. 

Pour conclure, la misère matérielle n'est pas liée à la pauvreté ou richesse matérielle extérieure, c'est le fait de l'être ou pas à l'intérieur de soi. 
On peut être soit disant pauvre et très riche. Et qu'est-ce qu'être pauvre ? Est-ce que les sadhûs ou les moines s'intéressent à cette question ? Ça ne les concerne pas. Il n'y a que dans des sociétés qui prennent la vie pour un objet de consommation qu'il y a ces étiquettes et identifications.
En acquérant la richesse matérielle intérieure, on sort de tout ça. Et c'est cela la seule chose qui reste pour sa propre évolution : comment on a fait évoluer sa propre matière, en faisant avec ce qui est là à l'extérieur. Alors les biens extérieurs n'ont plus vraiment d'importance. On dépasse ainsi sa condition. Et c'est en n'en étant plus affecté, qu'on vainc l'épreuve. 
Le but n'est donc pas la réussite matérielle, mais le cap vers son moi-supérieur dans la matière, qui y apporte ainsi sa réussite.
On se doit de réussir en étant soi, pas en faisant du mimétisme.
Et la création commence avec ce que l'on met dans son corps.

Chaque matin avant de partir en ville

25 août 2021

Nos ancêtres, la voie de l'évolution

Nos ancêtres, plus évolués que nous car ils vivent en symbiose avec la nature et que nous leur sommes un sous-produit, avec un chainon manquant, génétiquement modifiés et réduits par des extraterrestres malfaisants pour être exploités et servir (humain : 95% de gènes extraterrestres).
Ces êtres, qui dirigent ce monde et imposent leurs lois seront beaucoup des futurs humains au bas de l’échelle 3D, comme ça a été le cas pour nombre d’humains de maintenant.
Ayant quittés la nature, donc la vie, nous servons la mort, notre mort, dans une dimension 3D (duelle et déconnectée), vouée ainsi à une auto-destruction répétitive depuis la nuit des temps qui n’est qu’un passage.
La suite : nature (état naturel/pur, libération et évolution 4D/5D) ou virtuelvax5Gcovid (robot/machine/programme, donc régression 2D et extinction). Quoiqu’il en soit, cette humanité 3D est finie, place au nouveau. Le pouvoir de l’Ombre ici est terminé.
On est la Source, la Lumière, immuable, infini, illimité, éternel. Il ne s’agit que d’un film sur l’écran de la conscience qui se répète, différemment. Telle a toujours été la 3D. Avec tant de souffrance (car dans le faux), on y apprend beaucoup. La réalité est la Lumière.
Donc qu’importe le choix, t’es la Source, mais ton film sera différent en fonction de ce que tu crois être et la force que tu y mets. L’apparence étant illusion même si déterminée par ce dans quoi tu mets le plus tes énergies.

Redeviens civilisé en retournant vivre dans la nature avant qu’il ne soit trop tard ;)

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10 février 2020

Le corps est l'univers

Il n’y a que soi partout et dans tout. Tout ce que l’on regarde est l’intérieur de soi-même. Dans l’individuel il y a l’universel et dans l’universel il y a l’individuel. Macrocosme et microcosme sont identiques car sans fin ni milieu. Tout étant le centre de toute chose, c’est la même présence dans chaque sujet-observateur, chaque conscience. Sans notion spatio-temporelle, où y a t-il un moi valable ? Tout est soi. Une seule et même vie en toute chose. La réincarnation est donc propre à la Source, pas au moi. Le véritable “Je suis” ou “je suis untel” est valable pour tous les êtres, dans tous les êtres, car au final il n’y en a qu’un.
Le but ultime de l’être conscient est alors de protéger la vie (pour chacune de ses cellules, dans son corps individuel tout comme dans son corps universel) et de croître (à l’image de la nature) en respectant ces lois.
L’espace qu’il y a entre les êtres est identique à l’espace qu’il y a entre nos cellules. Nos cellules peuvent se croirent divisées et séparées mais elles ne forment toutes qu’un seul et même corps. C’est pareil pour les humains. De même, les planètes sont des cellules et les galaxies des chakras. Le corps est l’univers, l’univers est lumière. Le sombre est ce qui en soi n’a pas encore été éclairé.

Vidéo croquis réalisés en 2010 pour le livre “Eipho-Guidance”, qui devient en 2016 “Réalisation spirituelle”.
Bien sûr, la réalisation spirituelle n’existe pas. C’est toujours la réalisation d’un état. Un état qui lui-même se réalise toujours d’une façon différente.

 


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16 juillet 2019

Tout est un

Tout est un, tout est soi-même

Quand il n’y a pas d’autres qui ne soient pas soi-même.
Quand il n’y a qu’un seul être, qu’un seul et même ensemble. Quand tout est la Source, la même vie qui coule en tous et en toute chose. Une seule et même conscience qui pénètre tout. Où peut-il y avoir un bourreau, une victime et un sauveur, à part dans le plan de la division, dans l’illusion de sa propre séparation ?
Il n’y a rien de négatif. La seule chose négative, c’est de prendre les choses d’une mauvaise façon. Tout est là pour nous aider et nous entraider. Il y a besoin d’accepter et de lâcher l’ego (je veux ceci et pas cela, comme ceci et pas comme cela). Car la vie ne veut pas que l’on reste figé. La vie n’est jamais figée, on est la vie. Et il ne peut pas nous arriver des choses désagréables si nous ne sommes pas déconnectés.
Le négatif n’existe pas, tout comme la mort. Quand on se fait perdre ses énergies, on est dans le faux, et la vie nous le montre par la souffrance. Donc, s’ouvrir à la nouveauté, au changement, voir le potentiel de chaque expérience pour progresser, se transformer, en l’intégrant avec et dans l’unité. Ainsi l’expérience change.

Après les noirs, les musulmans, les juifs, les homosexuels, les vampires énergétiques, les reptiliens, les terroristes, voici maintenant le tour des pervers narcissiques ou comment s’inventer un nouvel ennemi. Dualité quand tu nous tiens… Toujours le rêve, l’illusion d’être séparé, reflet de l’inconscience. Et le monde 3D perdure.
La maya est un jeu divin dans lequel Dieu s’amuse à se croire divisé et à se battre contre lui-même, détruisant ses formes éphémères car incapable, à ce stade, de les voir unité. Et dans ce chaos, la Conscience immuable regarde l’illusion se déchirer éternellement. Création, maintien et dissolution sont un seul et même mouvement dans l’instant-présent, tout se transforme ici et maintenant. Mais la vibration de ce mouvement et ses répercussions indiquent sa nature, par conséquent le niveau de conscience en action. Cependant ce qui est en action est dans l’illusion car la Pure Conscience (véritable identité) ne bouge pas, tout bouge en elle (le monde est en soi, donc tous les êtres). De ce fait, ce qui se détruit (dualité – les pouvoirs en action divisés en eux-mêmes), ne sont pas amour (ombre – conscience endormie). Car le véritable amour : la réalité, laisse la création libre (pur amour). La réalité étant unité tout y est parfait (vibration pure). Ce qui veut dire, que lorsque l’on voit un ennemi, on n’est pas dans la réalité, mais endormi dans son rêve, et en dualité/conflit avec soi-même, ignorant sa véritable nature : le Tout/la Lumière/l’Un.
On n’accuse plus sa création quand on sait qu’on est le créateur. Tout est soi-même, tout est son propre reflet et projection. Ce qu’on regarde est soi-même. La différence est : comment s’est regardé ? Qu’est ce qui en soi perçoit, l’ego (conscience rétrécie – perte d’énergie – dualité) ou l’être divin (conscience universelle – amplification des énergies – unité) ?

15 juillet 2019

Être multi

Imaginez un maçon qui travaille depuis 30 ans et se débrouille pas trop mal. Il a fini par s’y connaître en charpente et en pose de tuiles, il lui arrive même de dépanner ses amis ou membres de sa famille quand ils ont des problèmes d’électricité. Dans ses heures perdues, sa grande passion c’est la construction de maquettes de trains électriques, ce qui fait la joie des enfants lors des repas de famille.

Avoir plusieurs prédispositions est-il possible ? Connaissons-nous des gens qui sont compétents dans plusieurs domaines ?

Bien-sûr que oui. Il y a de nombreuses personnes qui sont bonnes en faisant plusieurs choses. Nous parlons dans cet exemple d’aptitudes par des savoir-faire manuels appris sur des années, mais il peut tout aussi bien s’agir de connaissances théoriques et pratiques comme pour l’administration (la gestion de dossier, l’accompagnement de clientèle, la maîtrise de logiciels, la trésorerie etc.).

On peut très bien appliquer d’une façon compétente plusieurs de nos qualités. De ce fait, un thérapeute en développement personnel ou un praticien du bien-être pourra de la même façon, s’il le souhaite, mettre en place différentes prédispositions et être tout aussi bon. Est-il possible alors, d’être un médium et guérisseur en même temps, et à côté de cela de se former à l’access bar, puis à la géobiologie et un peu plus tard au yoga ? Avec les années, ne serions-nous pas bons dans tous ces domaines ?

Il faut savoir que les facultés extrasensorielles proviennent de centres énergétiques (les chakras) ouverts. Plus ces chakras sont forts, plus les aptitudes extrasensorielles sont puissantes. Ce qui veut dire que n’importe quel humain, s’il est éveillé et en bonne santé, peut déployer et développer plusieurs qualités extrasensorielles, et ces compétences s’affinent avec le temps.

On peut donc pratiquer plusieurs activités, offrir plusieurs prestations et être assez doué. Il n’y a pas à se croire limité, ni à discréditer autrui en disant qu’on ne peut pas exercer efficacement plusieurs choses et en pensant qu’on ne peut pas ouvrir plus d’un chakra (ce qui donne accès aux aptitudes extrasensorielles). Il n’y a là aucun secret, aucune magie. On est tous là pour s’entraider, non pas à faire de la compétition.


Si on est dans la dualité (l’autre n’est pas soi), on ne voit que des egos.
Si on est dans l’unité (l’autre c’est soi), alors on est en joie des belles créations de la Source.
Et plus les autres soi font de belles choses, plus on est heureux.
On ne peut voir que soi-même, mais tout dépend de sa position.