Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est très facile à côté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misère matérielle ou pauvreté matérielle ce sont les sociétés humaines, les villes, non pas le fait d'être pauvre.
Cepenpant, conquérir la Matière est l'expérience suprême de l'âme.

Prestations :

Programmes de développement :
programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

15 février 2023

Savoir vivre dehors toute l'année en ville comme dans la nature

Avant je savais vivre dans la nature, dix années de nombreuses retraites spirituelles dans les forêts et en montagne m'ont appris à le faire, avec des bases militaires, plus la lecture de quelques livres.
Il faut bien évidemment de l'équipement et un bon matériel peut durer ensuite plusieurs années. 
Mais savoir vivre dehors en ville, ça, ça demande d'autres notions, car il y a plein de codes et d'attitudes pour ne pas se faire bouffer.
Le gars qui sort tout juste de sa nature avec cinq ou dix ans de méditation derrière lui se fait bouffer. Car maintenant les villes sont de véritables jungles agressives et dangereuses, pour les femmes comme pour les hommes. 
Un homme sans force ça se voit et c'est potentiellement plus une proie que les autres. On ne parle pas de force spirituelle mais matérielle.
Si un jésus était revenu sur Terre y a dix ans, il aurait été bien sûr considéré comme le pire des terroristes. Cette parenthèse pour dire que celui qui veut passer pour un saint en ville serait très mal vu, même avec les meilleures intentions.
Ainsi en ville, avec toute cette agitation, ce bruit, cette pollution et les nombreuses personnes mal intentionnées, la force spirituelle est ébranlée, vacille et s'effondre en moins d'une année. Parce que cette personne s'aperçoit que la seule force spirituelle ne vaut rien et n'est pas incarnée, remplissant son corps pleinement de matière dense. Alors que d'autres n'ont jamais entendu parler de spiritualité et ont leurs racines capables de transpercer des cailloux. Ce qui veut dire que dans la matière, ils sont bien plus forts. Et nombreux de ceux-là vous regardent droit dans les yeux avec férocité, capables de vous rentrer dedans s'il leur semble que vous leur parlez de travers. C'est la ville. C'est une normalité. Et c'est également leur attitude normale du matin au soir sans qu'il n'y ait quelque chose contre vous.
Si vous avez le regard fuyant, peu sûr de vous, vous vous faites bouffer. Il faut le regard aiguisé comme l'aigle, déterminé, la posture solide et imposante, et si en plus les sourcils restent naturellement froncés, vous passez inaperçu. Vous êtes normal. 
Il faut néanmoins observer quelques signes de reconnaissance et de politesse furtifs ou appuyés dans certains cas et que ce soit juste. On les obtient alors en retour.
Bref, après l'acquisition des forces de la ville, en intégrant toute sa lourde matière, il faut ensuite y combiner ses notions de survie dans la nature. 
Donc partout, dans chaque rue, chaque quartier, on peut trouver des choses utiles pour avancer. 
Ici et là-bas il y a un point d'eau, ici un endroit pour uriner tranquille, dans cet immeuble ou cette église de quoi charger son téléphone dans une cachette, dans ce parc de quoi se reposer peinard, dans ce lieu de quoi se débarbouiller etc. 
Il faut donc avoir l'oeil et chercher du regard les endroits propices pour subvenir à ses besoins vitaux ou secondaires. Car dans toute cette agitation qu'est la ville, avoir l'air naturel tout en utilisant ce qui n'est pas destiné aux premiers abords à ses affaires personnelles est synonyme de réussite. Après leur coup d'oeil sur vous, les gens sont pressés de faire autre chose. Et il faut également faire semblant de faire autre chose. Tout ça s'appelle la ruse, la débrouillardise, la stratégie et la discrétion. Alors vous survivrez très longtemps (si en plus vous avez du lien social). 
Car les gens qui savent vivre dehors ont un gros avantage sur les gens qui vivent dans des maisons, enfermés. C'est comme dans la nature, les espèces survivantes sont les plus résistantes mais aussi celles qui s'adaptent le mieux. 
Avant, tous les humains savaient vivre dehors. La peur les enferme et le confort ramollit. 
Il est bien connu que ceux qui vivent à la montagne ou à la campagne sont plus résistants que les autres. Parce qu'ils vivent aussi plus dehors et plus dans la nature. 
Donc il faut s'entraîner à vivre dehors, à essayer de se débrouiller, à voir de quel matériel on aurait besoin s'il était question de survie, à essayer et à s'amuser. Et en vérité, agir sur ça c'est comme du développement personnel. Et c'est aussi gage d'évolution mais encore plus une grande chance de ne pas être pris au dépourvu si demain la société venait à s'écrouler. On a déjà tous les repères et stratagèmes en place. Bien sûr, plus besoin de charger son téléphone dans ce cas-là. J'ai donc des talkies-walkies et assez de piles pour maintenir le contact avec la mère de ma fille. C'est juste un détail, mais qui a une très grande importance et peut faire toute la différence pour voir ma fille et leur apporter des vivres si besoin. 
Vous voyez ce détail, il est puissant en fait. Mais il est aussi crucial que de savoir où se trouve les points d'eau en ville, où sont les endroits où être à l'abri sans être vu, utiliser son argent judicieusement et de ne pas sortir son portefeuille ou ses billets n'importe où.
Autre point important, avoir une réserve de savons compacts et de bouteilles, gourdes et bidons pour stocker de l'eau. Le reste, je le détaille dans l'article "Recommandations campement", où le matériel qui sert dans la nature peut aussi être utile en ville. 
Quand on vit dehors en ville, il faut toujours avoir avec soi un petit sac à dos avec une grande gourde d'eau, des affaires de toilette et de rechange, une serviette, des couverts, son chargeur de téléphone, un k-way et une lampe frontale.
Également, il est vivement conseillé d'avoir et de maintenir une activité physique, de renforcer son corps, qu'il soit apte à courir plus de 30 minutes sans s'arrêter.
Savoir vivre dehors, c'est aussi avoir les bons vêtements et le bon couchage, surtout l'hiver mais c'est aussi une force d'esprit qui a été trop entraîné à vivre enfermé. Alors se retrouvant dehors, l'esprit ou mental est sujet à l'angoisse, à la dépression, à la perdition. D'une part parce qu'il n'y a pas le matériel et d'autre part parce qu'il est perdu, aucun repère. Totale zone de non confort.
C'est pour cela qu'il faut s'entraîner à vivre dehors. Une semaine par-ci, deux semaines par-là, c'est déjà un très bon début. 
Ainsi on fait petit à petit ses marques, on voit de quoi on a besoin, on évite de reproduire certaines erreurs, on n'oublie plus telle chose etc.
Et en vérité, on redevient vivant. On est plus dans la vraie vie, on se sent plus grand et on se débarrasse de l'inutile, du superflu. Il peut venir aussi plus de maturité, plus de sagesse. Mais il y a une grande différence entre la ville et la nature. Aussi je recommande d'allier les deux. Car il est dur de garder sa sagesse en ville, la nature y aide mais la ville apporte sa force. Il faut combiner ça. La densité avec la pureté. Dur dur. Il faut être fort. 
Vivre dehors apprend à être fort, à surmonter d'incroyables états d'âme, car il n'y a pas le choix, pas d'échappatoire. Ainsi, c'est sa nature en soi qu'il faut y amener et y mettre toute cette force matérielle extérieure à l'intérieur. 
La conclusion, c'est que le simple spirituel qui se faisait bouffer, c'est lui qui maintenant bouffe la ville. Tout est en soi mais ici il faut dire : bonne chance, car la ville est la pire des jungles.
À côté, la forêt, après la sérénité c'est la sécurité absolue, même la nuit. Et c'est là où on dort le mieux et qu'on peut le plus se recharger. Donc, même en ville, toujours établir son campement non loin, dans un coin de nature sous les arbres et proche d'un point d'eau. Car bien entendu, vivre dehors ne veut pas dire d'abandonner sa voiture.

12 février 2023

Campement février 2023

09 février 2023

Leurre de l'ego spirituel II

La tour d'illusion de la fausse identité virtuelle, ou comment se croire quelqu'un d'important quand on est personne.
Être personne est ce qu'il y a de plus grand à vivre à l'extérieur, non pas transférer son identité dans un moi virtuel bâtissant une tour d'illusion où le vrai moi s'enferme et regarde le monde, finissant par croire être sa construction virtuelle.
Et plus ce qui est construit est vaste et long dans le temps, plus l'ego spirituel est grand.

08 février 2023

Pas de victime

Quand on se sent victime, ça veut dire qu'on est responsable. Ce sont les lois universelles. Responsable de soi-même.
Mais on en souffre tant que nos croyances sont fausses et qu'on n'a pas repris les choses en main.
Car dans la réalité, il n'y a ni victime ni bourreau. Il n'y a que l'Un. "L'autre" (Dieu, l'Univers) est son autre soi en maître. Non pas pour lui obéir, mais pour l'intégrer, apprendre de soi et se transformer.
Ainsi celle ou celui qui se croyait victime devient maître et ne peut plus agir en bourreau pour se faire redevenir victime (loi de cause à effet, et dimension artificielle produit par l'état mentalisé duel et de division). 
Et comme il n'y a que l'Un, cette bulle astrale peut être à vie tant que la personne n'a pas accès à la réalité, et en arrêtant de se faire subir ce qu'elle croit à tort venir de quelqu'un d'autre. La victime est le bourreau. Si on cesse d'être bourreau, on n'est plus victime.
Un autre que soi n'existe pas, tout comme de croire que l'extérieur est responsable de ses problèmes. On est créateur de l'extérieur.
Certains élaborent de grandes stratégies pour échapper à leurs problèmes/miroirs, ils en font même des programmes de vente ou des conférences, propageant de ce fait la dimension de division où ils restent prisonniers et où un soi-disant autre serait fautif, qu'ils traitent parfois de différents noms new age régressifs et dévalorisants, passant ainsi de victimes à bourreaux. Ils ne font que se fuir eux-mêmes, fuir leurs responsabilités et ne peuvent évoluer.
Si on voit quelqu'un qui n'agit pas bien, on l'aide à faire mieux (l'Un) au lieu de le juger et de le condamner (victime bourreau).
Quand on a intégré l'Un, on ne peut plus se plaindre de quelqu'un d'autre ni en être affecté, et les vrais spirituels voient clair. L'autre c'est soi et dans la réalité il est une force. Mais en se mettant en victime, on est divisé et on cesse d'être une force.
Victime et bourreau sont un et ils appartiennent à la même dimension mentalisée de division.
Dans l'Un, il n'y a plus de ça, on se sait responsable de ce que l'univers nous envoie et on agit avec unité.
Quand on n'est plus victime, on rigole des choses qui nous embêtent parce qu'on est plus fort que ça et qu'on les utilise pour évoluer. 
Bien sûr, il faut toujours défendre quelqu'un qui se fait agresser (soi-même).
Je dirais pour finir : il n'y a pas de victime, que du karma.
--> Voir aussi article Il n'y a pas de relation toxique.

07 février 2023

L'IA, l'ultime couverture rep

Après le terrorisme, la 5@G et les va%c$c@ins, place à l'IA (suite logique et programmée), ou comment contrôler des robots par des robots, tous connectés. Et c'est un libre arbitre, voulue par une humanité qui choisit le virtuel comme Dieu, par peur de la vie. Car seules les marionnettes (politiciens) des vrais "maîtres" se montrent. Et leurs joujoux robots peuvent se montrer aux humains virtualisés admiratifs. 
Les Dieux de la Mort. Servir la Mort. Obéir et se sacrifier, toujours, comme une normalité (vous êtes pécheurs...), en échange d'une survie matérielle aléatoire mais méritée et des milles distractions, avec le sourire.

06 février 2023

Affronter le froid

On se dit que ça va aller, qu'on est prêt, qu'on s'est bien entraîné, mais non, le froid finit toujours par prendre le dessus. Faut faire avec. 
Alors après l'entraînement physique, la résistance, tout se passe dans la tête. 
Décembre ça allait, janvier ça allait (avec quelques gerçures aux doigts), février il fait encore plus froid. Mais il faut s'entraîner à rester dehors. J'ai sorti les gants, le bonnet, la capuche.
Le soir, à devoir se servir d'objets, les doigts sont à l'air et complètement froids. Il doit faire au alentour de zéro. Mes pieds eux sont gelés. Les pauvres baskets que j'ai ne valent rien, avec une paire de chaussettes basiques. Il faut impérativement investir plus haut. Chaussures et chaussettes plus épaisses l'hiver, obligatoirement. 
De ce fait, avec l'expérience directement sur le terrain, on peut prévoir pour son confort. Et l'hiver étant la saison la plus dure, on ne doit pas être pris au dépourvu ni rien négliger.
Sac de couchage le plus résistant (-25 degrés) impératif. Apres couverture polaire au-dessus car ça ne suffit pas. L'important l'hiver, ce sont les couches pour garder la chaleur, comme pour les vêtements. Donc la nuit, pour dormir au chaud, il faut 3 couches : le sac de couchage + 2 couvertures épaisses au-dessus. Là il ne reste plus qu'à trouver le toit (tente, bâche, les 2). Ainsi pas de problème pour survivre. 
Ici j'ai un bidon de 10 litres pour la toilette, et il y a une fontaine à 20 minutes de marche. 
Ça aussi c'est impératif. Où se place un campement, doit avoir non loin une source d'eau. Et si non potable, prévoir des filtres à eau.
Autre point important : pour combattre le froid, surtout pendant des mois, faire du sport régulièrement, voire tous les jours (footing, pompes, squats, tractions, gainage). Ça réchauffe, fortifie le corps, donne plus d'assurance, habitue à avoir chaud). Et ça, ça solidifie aussi le mental.
En plus, se faire un repas chaud le soir, boire des tisanes bio et pratiquer la méditation. 
Je parle ici pour les gens qui vivent dehors, qui n'ont pas d'autres choix, mais aussi pour ceux qui souhaitent suivre une discipline de vie. 
J'en parle dans la pratique RD. 
Si vous êtes intéressé, contactez-moi à eipho@live.fr
Pour les autres, le plus important c'est d'investir avant qu'il ne soit trop tard : tente, bâche, sac de couchage, couvertures, paracorde, bidon, gourde, combustibles, sac à dos, lumière frontale, briquets, et garder un moyen de locomotion, ainsi que des liens sociaux (plus d'infos dans "Recommandations campement" du 31 août 2021).
Pour ma part, j'ai un super campement (qui ne vaut pas la caravane que j'ai eu en 2012), mais je suis bien équipé et j'ai des liens sociaux qui me permettent de gagner de l'argent. Je me débrouille. 
Il faut toujours garder le cap, toujours faire confiance en la vie mais en même temps aller dans son sens, ne pas perdre les rails ou se laisser aller. Chaque jour est une nouveauté pour accueillir du nouveau et être bon envers les gens. 
Car y a que comme ça qu'on peut s'en sortir, en offrant le meilleur de soi.
Évidemment, être à la rue signifie souffrance en Occident. Mais les souffrances peuvent s'atténuer et disparaître en allant vers du mieux, plutôt que de s'isoler et rejeter le monde (là ça sera pire). 
Il faut aller vers..., même écorché(e), démuni(e), appauvri(e), aller vers la vie. Et la vie transforme et guerit.