Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est très facile à côté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misère matérielle ou pauvreté matérielle ce sont les sociétés humaines, les villes, non pas le fait d'être pauvre.
Cepenpant, conquérir la Matière est l'expérience suprême de l'âme.

Prestations :

Programmes de développement :
programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

28 mai 2023

Vaincre la déprime et les baisses de moral quand on est sans domicile ou en grande précarité

J'ai connu plusieurs sortes de déprime en 3 ans de vie sans domicile. La plus éprouvante pour moi, c'est quand on a pas d'argent pour s'acheter à manger. Car quand on est seul dehors, le plus grand bonheur le soir en rentrant au campement c'est de se faire un bon repas.
Bien sûr, la présence humaine m'a beaucoup manqué aussi et notamment celle d'une femme aimante. Ça, ça a été mon troisième point de déprime. Car je rêve de vivre un fort amour avec une femme. 
Le deuxième point qui m'a été très dur et m'a fait beaucoup souffrir, c'est de ne pas passer les soirées avec ma fille et en famille. Parce que de tout mon coeur, je souhaitais que ma fille grandisse avec un papa et une maman qui s'aiment, vivent avec elle et passer plus de temps avec elle, dans un lieu de vie commun. Ça, ça m'a fait beaucoup souffrir, parce que ça m'a rappelé aussi ma propre enfance et ce que pouvait éprouver ma fille. J'ai travaillé dessus et c'est passé. 
Mais dans la rue, dehors, l'essentiel et le plus important, ce qui passe en premier c'est de manger. 
Plusieurs fois et surtout les fins de mois, je me suis retrouvé quelque fois à ne pouvoir m'acheter qu'une baguette de pain ou une boite de conserve pour la journée, et ça, ça me plombait considérablement le moral. Je ne me sentais pas bien. Ça me faisait déprimer. Je comptais mes centimes et attendais avec impatience mes revenus du mois quelques jours après.
Je crois que c'est là où à commencer mon plaisir à me faire des bons repas. Avant, je n'en avais rien à faire de la nourriture. Je mangeais ce qu'il y avait ou me contentais de peu.
Mais en connaissant le manque, les choses sont devenues différentes. J'apprécie me faire plaisir avec la nourriture car c'est d'un grand réconfort, comme une douche chaude après 5 ou 10 jours sans se laver.
Ici, j'ai une table basse et un petit tabouret en bois récupérés près des poubelles, avec un siège acheté à Décathlon. J'ai une poêle, une casserole et de quoi faire chauffer. Je vous dis pas le plaisir que j'ai à rentrer au campement pour me faire une omelette aux pommes de terre ou une poêlée de légumes ! Je me régale. Et ça, c'est très important pour le corps et le moral quand on vit seul dehors, et encore plus l'hiver en mangeant chaud.
Mais les jours sans rien, comment on fait ? 
Et bien j'ai fini par me dire que ce n'était pas grave. Le jour où je savais que je n'allais plus pouvoir m'acheter à manger jusqu'à ma paye, je me disais que c'était ok, j'avais bien profité avant, un petit régime ne me ferait pas de mal. Et puis y a pire que de ne pas pouvoir manger comme on veut pendant 5 ou 6 jours. C'est rien en vérité. 
Des moines bouddhistes au Tibet vivent avec un bol de riz par jour. Des sadhûs en Inde vivent parfois avec moins que ça et on ne parle pas des millions d'Africains qui connaissent encore pire. 
Ici dans nos pays occidentaux, on peut se débrouiller, il y a l'abondance. 
Comme il est expliqué dans le texte précédent, bien habillé et en se donnant les moyens, on peut réussir et manger à sa faim. 
Cependant, il y a d'autres sortes de déprime : le fait d'être seul, à la rue, marginalisé, exclu, souffrir de choses du passé ou du problème qui a fait en sorte qu'on se retrouve dehors et/ou de n'avoir pas de compagne ou compagnon.
Quelque soit la souffrance qui vient, il faut mettre un point d'honneur à ne pas la nourrir en plongeant dedans. S'il vous plaît ne faites pas ça.
Oberservez cette souffrance, regardez-la d'au-dessus pour mieux l'analyser, la comprendre et la dépasser. En s'identifiant à elle, c'est perdu pour un moment qui n'appartient qu'à vous, plusieurs jours, des mois ou des années. C'est toujours soi-même qui se fait souffrir et jamais la situation qui ne veut que nous rendre plus fort et nous faire évoluer.
Il faut observer son état émotionnel et se demander comment être mieux. En voyant que c'est telle situation qui pose problème, on peut se dire que cette situation finalement si elle est prise d'une façon positive change l'état intérieur. D'une façon positive dans le sens où ça va nous apporter quelque chose de bénéfique. Oui, vivre le rien peut être positif, même énormément si c'est vécu en conscience.
Pour rester bien et dans un bon état intérieur, il faut prendre soin de soi. Faire du sport ou de la marche, avoir une activité physique et/ou intellectuelle avec d'autres, faire du yoga et/ou de la méditation (l'introspection est très importante pour avancer), mieux manger (sainement), s'entourer de  belles choses ou aller vers elles, aller dans le sens d'un mieux-être.
Il faut rester ouvert à ce que la vie nous envoie, en matériel comme en personnel. C'est pour ça que j'insistais dans le texte précédent d'avoir des relations. Le jour où vous avez moins, la vie veut que vous ayez plus. Mais la vie se manifeste à travers les gens !
Soyez sympathiques, aimables, polis, respectueux, serviables, alors vous verrez que la vie vous le rendra.
Ainsi vous ferez de plus en plus confiance en la vie, de plus en plus confiance en vous même, car vous verrez que certaines choses simples marchent et se mettent en place (parce que vous l'avez créé).
Alors il n'y a plus de déprime à avoir, de baisses de moral, au contraire, il y a un élan positif d'aller en avant. En élan vers la Vie, un élan vers Soi. Alors tout se met en route. Et l'expérience de sans domicile prend une autre allure. 
Finalement c'est positif, ça nous apprend beaucoup, ça nous aide à devenir meilleur, plus fort, plus ancré, plus vivant. L'humilité et le coeur prennent le dessus et là, avec l'élan bienveillant créateur, c'est le jackpot. 
Vous pouvez être sans domicile et très riche. Offrez cette richesse intérieure aux autres et c'est tout bénef pour vous. Vous trouverez alors un logement dans peu de temps, ainsi que de quoi subvenir à vos besoins, c'est garanti.
Il faut toujours croire qu'il y a un meilleur pour soi et savoir qu'il est là. Et ça, ça donne une étincelle dans les yeux. 

24 mai 2023

Constat sociaux de la vie sans domicile

Il ne faut compter que sur soi-même.
Les gens qui aident le plus les autres sont les pauvres et non les gens aisés.
Les "matériels" aident plus que les spirituels ou les thérapeutes/coachs bien-être/développement personnel, qui eux attendent d'être payés pour aider. Et ça peut paraître contradictoire, mais les spirituels jugent plus aux apparences que les matériels. Parce qu'il n'y a pas cette notion de "mauvaises énergies" qui est plus dans la tête que dans la force intérieure du coeur, où il n'y aurait pas de problème d'aller vers.
Les pauvres écoutent les pauvres. Les riches ne s'intéressent qu'aux riches.
Avoir de beaux habits ouvre toutes les portes, et les gens aident plus quand on est bien habillé que mal habillé, ils ont du temps pour vous et ont envie de vous connaitre. Mal habillé, ils sont pressés et vous évite.
Ce qui veut dire, que bien habillé on intéresse les gens aisés (avec qui on peut mieux réussir).
Être bien habillé vous rend respectable. Donc, il ne faut pas être bête et mettre les choses à son avantage pour profiter des situations. 
C'est pareil pour la police. Si vous êtes bien habillé vous êtes quelqu'un de bien, si vous êtes mal habillé vous êtes suspect ou coupable de quelque chose.
Idem dans les magasins. Bien habillé, les vigils ne font pas attention à vous, mal habillé vous êtes repéré et potentiellement voleur.
Donc, avec une belle montre imitation argent à 25 euros, un beau pantalon clair de ville au même prix et un polo blanc ou bleu foncé à 10 euros, vous pouvez réussir, même si pas lavé depuis 1 semaine. Il suffit de s'en donner les moyens et de "paraître" beau, c'est tout.
La dernière chose à faire, c'est de faire la manche. Là c'est la case zéro et on peut attendre très très longtemps comme ça. Vous allez vous enfoncer et personne ne va vous sortir de la rue, personne. 
Il faut se prendre en main dès le début, ou au moins se faire confiance et savoir qu'on va trouver des choses utiles à faire, car on a le droit de se reposer.
Être malin et sociable. Saisir les opportunités. Utiliser les ressources disponibles. Provoquer la chance.
Ne pas fréquenter les alcooliques et drogués, ou alors juste pour leur dire bonjour. À part si ce sont des amis et qu'on est sûr et certain d'être assez fort pour ne pas tomber là-dedans. Mais il vaut mieux ne pas les accompagner lors de leurs descentes. 
Les lendemains sobres et frais offrent des chances de s'en sortir. Drogué ou alcoolisé de la veille, aucune. Journée perdue. De plus, les énergies dans le corps baissent et l'état créateur est néant, à part pour les artistes éphémères.
Ne compter que sur soi-même et se munir de choses essentielles à sa survie.
Ne pas dormir en ville si possible, mais éloigné dans un coin de nature, non proche d'une cité ou zone industrielle.
Il faut trouver un coin qui n'est pas repérable, un coin où il n'y a pas de passage, écarté des chemins et sous des arbres.
S'il n'y a pas le choix, alors il ne faut pas dormir avec son portefeuille sur soi mais le cacher sans être vu dans une planque parfaite. Idem le lendemain matin, bien regarder que personne ne voit la planque en retirant le portefeuille. En fait, il ne faudrait pas dormir dans des lieux où on est vu. Pour les femmes, il est impératif de trouver des gens de confiance pour dormir avec eux dehors. Ne pas dormir seule.
Savoir où sont les points d'eau et en être jamais loin. Se débarbouiller tous les jours, ainsi que les parties intimes fréquemment et les pieds. Maintenir des vêtements propres hebdomadairement.
Fréquenter des gens tous les jours et être ouvert aux contacts, aux amitiés. Apporter son aide si besoin. Ça, ça peut faire beaucoup ! Car des gens que vous aidez peuvent avoir encore besoin de votre aide et finir par vous payer et parler de vous.
C'est ça : le contact, l'aide aux contacts, qui va ouvrir de plus en plus de portes.
Car bien habillé, sobre et sûr de vous, vous pouvez demander à n'importe qui qui travaille et que vous croisez souvent et avec qui vous dites bonjour, si il ou elle n'a pas un travail pour vous. Et c'est obligé de trouver en peu de temps. 
Récapitulatif : rester soigné et pas trop mal habillé, rester sobre et frais, et se faire des liens sociaux d'entraide avec des gens sains et en activité.

23 mai 2023

La vérité entre les êtres est amour

On s'aperçoit toujours que ce avec quoi on avait des problèmes et qui passe au bout de quelques mois ou quelques années, était toujours dû à notre ego (pas assez fort, trop résistant, souffrant et divisé).
La vérité entre les êtres c'est l'amour. Quand ce n'est pas le cas, c'est qu'on est dans le faux, dans la dualité, souffrant, avec une conscience pas assez éveillée sur un problème qui doit être résolu dans l'unité en le faisant déjà en soi-même. 
L'être qui ne vit pas dans l'amour avec son entourage et les gens qu'il croise est divisé en lui-même, avec des parties non-aimées.
C'est une question d'évolution qui finit par amener à vivre les choses avec les autres dans la réalité. Car les autres sont soi-même.
La vérité de soi-même est amour. C'est la nature pure, énergétique, vibratoire et de lumière. 
Vivre l'amour avec les autres est donc une question de guérison intérieure.
Nous sommes des êtres d'énergie et toutes les âmes sont pures. Elles représentent toutes une vibration particulière de la lumière. C'est une fois dans la matière que la pureté se densifie dans un ego (personnalité), mais la vraie forme (âme) est toujours pure.
Pourquoi ? Parce qu'on est la Source et qu'on en a jamais bougé. Le temps et l'espace sont une illusion de la conscience fragmentée qui se crée alors son propre espace-temps où elle se croit projetée ailleurs que dans la Source (ça se densifie pour elle). Alors que tout est la Source, tout est la Lumière, sauf pour la conscience fragmentée qui se réveille (même après 4 milliards d'années) et entrouvre toujours ses paupières dans des mondes qui sont donc mi-ombre mi-lumière (résultat de son propre état conscience/inconscience, dualité ou état d'éveil).
Plus la conscience s'éveille et plus elle voit la réalité. Une réalité qui est elle-même en train de s'illuminer (monde supérieur), de s'aimer et d'intégrer de plus en plus ses parts universelles (les autres, ici ou ailleurs). Alors l'être grandit et avec lui ses énergies. La matière ou dimension change. Car étant la Source, on est tout l'univers. 
Tout est un.
Quand les choses ne sont pas dans l'amour, ça ne nous fait pas du bien et on en souffre. La souffrance finit par faire en sorte de se transformer et de s'aimer plus. Finalement, d'être de plus en plus son vrai soi.

22 mai 2023

Gagner au jackpot


J'ai eu la chance d'être sans domicile pendant 3 ans. Ça a été une expérience évolutive incroyable, une progression phénoménale, un grand et puissant développement personnel et spirituel. 
Intense, éprouvant et fortifiant sont aussi des mots appropriés. 
La conquête de la Matière la plus dense qui soit.
Vaincre, réussir chaque jour, intégrer, faire un et transcender.
Savoir vivre dehors, par tout temps, en ville comme dans la nature, aiguise les sens, l'esprit et la force intérieure. Dépassement de soi, encore et toujours.
Savoir se débrouiller avec peu, avec ce qu'offre la nature et la ville en étant observateur, rusé, habile, discret, rapide et stratégique, participe à une survie gagner d'avance.
L'intégration de la matière forte dans son agitation extrême, apporte en puissance 100 sa connaissance vibratoire dans toutes ses informations en accéléré. Ça secoue un temps. L'animal est comme balancé dans un train grande vitesse. Puis c'est l'animal qui finit par dompter le train fou. Car de cette folie, il en a fait une puissante force à vie, qui reste comme une enclume, un poing imposant et souverain posé sur le sol. C'est un véritable ancrage, à l'image d'un gros platane, avec les animaux totem en un, donnant l'énergie d'un être plus grand.
Après le grand vacarme, après cet enfer, c'est la paix, le silence, la sagesse et le retour des hautes énergies. Le retour de sa vraie nature, en bien plus fort, car il a du poids, beaucoup de poids. Un poids qui sera pour toujours solidement un avec la Matière, puisqu'il est elle en soi. La Matière du tout en bas, la plus forte, un avec moi. Et c'est là cette fois-ci que la 2ème montée sera la bonne, sans perte. Jackpot gagné.

J'ai réussi la conquête matérielle, qui n'est pas celle des sociétés humaines qui elle est un échec.
Conquérir la matière ce n'est pas avoir des biens et de l'abondance. D'ailleurs, les croyances de ce mot sont fausses en spiritualité. Ce sont des croyances erronées. Car beaucoup d'individus ne vivront pas l'abondance en terme de biens pour leur bien justement et évolution, même s'ils lisent 36 ouvrages sur le sujet, regardent des centaines de vidéos ou participent à des stages/programmes/conférences où il faut faire tout un tas de choses pour obtenir l'abondance, ça ne marchera pas, ce n'est pas ce qu'ils doivent vivre, ou du moins pas maintenant.
La vraie abondance ce n'est pas ça. Il faut même oublier ce mot. Quand on est un avec la vie, qu'on vit dans l'instant présent, qu'on a de bons liens sociaux, alors la vie nous apporte uniquement ce dont on a besoin pour le moment présent, ni plus ni moins. Quand on a l'esprit détendu, en paix, c'est parfait comme ça et on fait confiance en la vie. Il n'y a rien besoin de plus. 
Ceux qui cherchent l'abondance sont dans l'agitation mentale, ils sont en division avec la vie. Il ne faut plus perdre son temps avec ça. Si on doit vivre l'abondance, ça se fera naturellement, non pas en y faisant du forcing en le voulant coûte que coûte.
Il faut accepter ce que la vie nous offre, même si on pense au départ que c'est rien, sinon on n'évolue plus. Et on peut fortement évoluer avec peu en en faisant un tout juste et parfait. Alors c'est là que ça change.
La vraie conquête matérielle c'est dans le corps, en lien avec la vie, les gens, en unité avec tout.

Donc, gagner au jackpot ce n'est pas gagner plein d'argent, c'est gagner la Matière (en vivant en unité avec elle, dehors, dans tout environnement).

21 mai 2023

Drogué à internet avec transfert de conscience dans un moi-je virtuel

Sans parler de ceux qui jouent à des jeux vidéos, on va s'intéresser à tous les professionnels qui essayent de créer des choses virtuelles qui ne marchent pas. Et plus particulièrement, ceux qui y passent des années sans toujours aucun résultat, mais qui sont prêts à y passer encore autant de temps, parce qu'ils ne sont plus dans la réalité.
Drogués et dépandants à internet sans s'en rendre compte, ces gens ont mis plus d'importance ou d'intérêt dans leur moi-je virtuel plutôt que dans la vraie vie. Avec le temps, l'identité virtuelle gonfle et est considérée par l'individu comme la vraie identité.
Il y a toujours pour ces gens-là dont l'activité ne marche pas, un très grand décalage entre ce qu'ils sont dans la vie et ce qu'ils montrent ou prétendent être sur internet. Et c'est précisément pour ça que ça ne marche pas.
Ils ne sont pas alignés avec ce qu'ils font, ils ne l'incarnent pas, et ce qu'ils créent est donc faux, en dehors de la réalité, mais totale vérité pour eux. C'est leur illusion. Voilà pourquoi ça ne marche pas et que même 4 ans après, ils n'auront toujours pas de client.
On peut se réveiller un jour et voir que tout ce qui a été créé sur internet ne vaut rien, que c'est égal à un château de carte, sortir de là et passer à autre chose (vivre), ou bien rester endormi encore longtemps avec un ego qui gonfle et devient irascible à la moindre contrariété et propageant des mauvaises énergies sur l'entourage. 
Mais la construction d'une identité virtuelle dans le temps devient telle que l'individu en est totalement hypnotisé, sans compter l'endormissement de l'esprit qu'opère le virtuel. On peut passer des heures à ne rien faire sans s'en rendre compte, sortir de là comme un zombi et dire qu'on a beaucoup travaillé. J'en connais !
Ne se rendant pas compte qu'ils sont drogués et pris dans une illusion croissante, ces gens-là affirment qu'ils sont leur identité virtuelle même si les activités de cette identité virtuelle ne marchent pas depuis des années. Preuve que ça ne vaut rien, totale perte de temps.
C'est le transfert (inconscient) de conscience de la vraie identité dans une illusion, parce que tout bonnement leur existence a pris plus d'importance dans une création mentale visible dans un écran que dans la vraie vie. Et cette création mentale étant visible par d'autres, il est encore plus difficile pour ceux qui y ont transféré leur conscience de ne plus la nourrir, car se disant que d'autres attendent de cette création virtuelle, qui est considérée comme le vrai soi pour ceux qui y ont perdu leur identité. Un soi d'illusion complètement improductif, mais tellement virtualisé dans les énergies qui y ont été mises et embelli qu'ils s'y idolâtre. Un illusion de soi créée dans le rien, sublimée et hypnotique, un échappatoire à une vie réelle fade ou souffrante.
Malheureusement, ces gens-là peuvent être ajoutés dans les rangs des schizophrènes.
On leur souhaite de se réveiller et de donner plus d'importance dans la vraie vie, d'incarner qui ils sont vraiment, ou bien la vie (les gens) s'en chargera un jour mais avec certainement des dégâts.
--> Voir libellé Leurre de l'ego spirituel

16 mai 2023

Durée de corps

On ne dit pas de telle espèce ou de tel être qu'il a une durée de vie de tant de jours ou de tant d'années mais une durée de corps.

15 mai 2023

Repas du soir


Après une bonne méditation, la journée en jungle s'est plutôt bien passée. La circulation des véhicules archaïques n'a pas posé plus de problème que ça aujourd'hui, ni les hommes de cromacron. J'ai pu prendre une bonne douche grâce à la débrouille et ça m'a fait énormément de bien. On ne s'imagine pas le bonheur que c'est de prendre une douche chaude...
La petite mamie était contente de mes services et ma fille heureuse.
Journée tranquille.

14 mai 2023

Méditation et regard, ou comment discerner un vrai maître

Les vrais maîtres en méditation ont leur regard posé sur le sol et il ne bouge pas. Ça se voit à travers les paupières où sont positionnés les iris.
Ceux qui ont leur regard qui monte vers le haut en fermant les paupières et le maintienne, où on voit le blanc de l'oeil, sont dans leur mental et émotions, ils ne sont pas en paix, ils cherchent un état, un échappatoire. Y a rien vers le haut hormis ses pensées et la perte énergétique. Et on peut dépasser le mental et regarder l'univers sans effort avec le 3ème œil et le regard toujours posé sur le sol.
Quand on n'est pas en paix, il est très difficile au regard de rester posé sur le sol. Mais bien sûr, avant de trouver la paix, il y a des guérisons à faire dans le corps, donc le regard se positionne à divers endroits.
Ancrage et paix avec tous les sens détendus (pareil aux muscles), ou tension constante et agitation intérieure.

13 mai 2023

Info

Une secte reptilienne (encore déguisée en humains) dit qu'il reste moins de 20 ans à vivre à l'humanité d'après leurs scientifiques et experts climatologues non subventionnés par l'état.
D'une part, tout ce qui vient des reptiliens est mensonge et est là pour engendrer de la peur et obtenir des conséquences favorables pour eux (médias officiels), et d'autre part, même si c'est vrai, cela est mis en place dans un but précis.
Ce groupe reptilien dénonce les agissements de nos dirigeants et stars du showbiz, divulgue des informations sur la présence extraterrestre et prétend être là pour aider l'humanité.
Pour moi, il s'agit de susciter de la peur et faire croire à des sauveurs pour que les gens se jettent encore et toujours dans les griffes du loup.
Ça a été le cas pour le terrorisme, le cas pour le c@o%v$i#d-5@G, les va@c$c%i#ns et le cas pour la guerre en Ukraine, afin d'obtenir toujours plus de contrôle et d'argent sur des populations hypnotisées, peureuses et obéissantes qui se font tout prendre.
Ce groupe prétend que nos gouvernements ont hâte que les grandes catastrophes climatiques adviennent pour anéantir la population mondiale et qu'il y aura des bunkers ou villes souterraines pour les survivants.
Bien entendu, il ne faudra en aucun cas y aller si tout cela est vrai.
Des technologies pourraient être là pour aider l'humanité mais ce n'est pas ce qui est voulu, donc elles ne sont pas disponibles pour elle.
Il y avait aussi des cartes du monde avec tous les littoraux submergés par des tsunamis et l'emplacement des supers volcans qui entreront en éruption.
Il faut donc vivre à plus de 200m de hauteur pour ceux qui habitent en bord de côte.
La question maintenant est de savoir pourquoi ce groupe reptilien dénonce ça ?
Ont-ils prévu eux de contribuer en faisant croire aux survivants que ce sont des ovnis géants qui vont les sauver ?
J'ai déjà eu cette vision il y a 3 ou 4 ans. J'informais à l'époque que même si des extraterrestres se faisaient passer pour des gentils, qu'il ne fallait en aucun cas monter à bord de leurs vaisseaux, aussi beaux soient-ils.
Je parle dans d'autres articles aux libellés Sociétés humaines, que la finalité de l'humanité c'est la robotisation, et tout a été mis en place depuis le terrorisme pour ça, avec pour finir l'IA qui contrôle les pucés. Et avec les catastrophes climatiques, pour survivre, les plus riches devront robotiser leur corps. Sinon, c'est les gazs toxiques et mutations souffrantes si on n'a pas trouvé de grottes (pour les survivants désobéissants), à moins qu'en haut des montagnes il y ait toujours de l'air pur ?
Au moins, il vaut mieux quitter son corps en homme libre.
Bref, ne rien croire de quelconque autorité ou soit disant sauveur. Comme il a été le cas à la période des confinements avec Qanon et Nesara Gesara, qui faisaient croire à toute une communauté spirituelle hyper naïve que toutes les personnes mauvaises au pouvoir se faisaient arrêter les unes après les autres et que les révélations allaient être diffusées à la télévision. Laissant les spirituels bras ballants au lieu d'utiliser leur pouvoir en commun lors de cette période propice.
Récapitulatif : vivre à 200 mètres minimum au-dessus du niveau de la mer près des côtes, ne pas aller dans les bunkers ou villes souterraines des gouvernements, ni grimper à bord de vaisseaux extraterrestres ou militaires. Ne pas laisser son argent dans les banques.
Le reste ça concerne la survie dont j'ai déjà parlé. Et la survie c'est du développement personnel, parce qu'avant d'être bien à vivre dehors 24h/24 et savoir se débrouiller avec peu, y a du boulot.

12 mai 2023

Dilemme

Je dépense 550 à 600 euros par mois pour ma fille alors qu'elle ne vit pas avec moi.
300 euros pour son école, 100 à 150 pour ses sorties du mois et 150 de pension versés à sa mère. 
J'ai 200 euros d'essence par mois et 90 pour l'assurance voiture et le téléphone. 
Ce qui fait un total de presque 900.
J'en gagne 700 à 750 avec mon travail et j'ai 350 euros de rsa. Ce qui fait 1100 euros.
1100 - 900 = 200 euros (ce qui me reste par mois pour manger). 
Autant dire que pouvoir m'acheter des habits est rare.
Je pourrais prendre un studio s'il n'y avait pas cette école où sa mère et moi avons décidé d'inscrire notre fille mais il faut en gagner le double et priorité à elle. 
Le dilemme c'est qu'on me propose un logement social qui me revient presque au même prix lorsque j'avais un studio de 20 m² à 270 euros avec l'aide au logement (loyer de 500). 
Bien entendu, je préfère que ce soient des gens qui ont plus de difficultés que moi qui en profitent. Et je n'ai pas d'argent pour payer un logement social à 250 euros par mois.
Donc je reste encore au campement pour l'instant.
J'ai mis des annonces pour des gardes de nuit auprès de personnes âgées et/ou handicapées, car aide à domicile est mon job principal mais mes journées sont déjà bien remplies, même trop et je suis hyper fatigué de cette vie, dans cette ville.
Je fais tout ça pour ma fille, qui indirectement m'aide à vaincre cette matière où je ne serais jamais resté, car les villes sont les pires endroits où vivre. Je préfère dormir dans la nature, en journée je n'ai pas le choix. 
Je suis un animal sauvage, c'est-à-dire un être évolué de la nature. L'esclavage, me conduire en robot, vivre dans les basses énergies, je n'y arrive pas.
Il y a eu une période où c'était un animal en colère qui descendait en ville chaque matin, les poings fermés. Maintenant, l'animal est apaisé.
Ici, les arbres, les sangliers et les loups sont avec moi, en moi. Totem. 
Le cerf restera toujours le premier (Pyrénées Atlantiques).
Densité matérielle intégrée, paix.

11 mai 2023

Les spirituels et les grands magasins

Il y a beaucoup de spirituels qui ont du mal dans les grands magasins. Ils ne s'y sentent pas bien parce qu'il y a trop de monde et que pour eux les magasins ont de mauvaises énergies. En vérité, leur force spirituelle est égale à zero. Ce sont eux qui se mettent dans de mauvaises énergies parce qu'ils ne se sentent pas bien avec les gens dans ces environnements, quand y a trop de monde. Pourtant ils aiment les restaurants, les cinémas, les spectacles et les concerts... Mais là ils choisissent que ça ne va pas aller. 
Ils sont dans leur tête avec leurs peurs et jugements et aucunement dans l'ancrage et le coeur.
Il faut inverser les choses et être maître de la situation, non pas laisser la situation être maître de soi. La vague on la retourne, on ne la laisse pas nous retourner à vie...
Le meilleur moyen est de vivre ses peurs comme un jeu, un amusement. On va faire ses courses pour s'amuser. Donc, ne plus y aller avec son ego râleur et stupide mais avec son enfant intérieur plein de joie à l'idée d'être parmi les gens (avec lesquels on est en amitié) et d'être heureux d'aller choisir des choses bonnes pour soi.
De ce fait, on y va avec le sourire et lumineux et non plus avec une tête de zombie où c'est perdu d'avance. Donc on n'est plus pressé mais on prend tout son temps et on passe un bon moment.
Avec de l'entraînement, on adorera faire ses courses, que ce soit dans des petits ou supers grands magasins où y a plein de monde. Aucun problème quand la personne se sent bien et que la spiritualité est ancrée, solide, et qu'on est aimant envers les autres. 
Alors les magasins sont des terrains de jeux où on aime aller.

10 mai 2023

Les vrais spirituels et les coachs

Les vrais spirituels se font connaître des autres, ou pas, pas par eux-mêmes. Ça c'est l'ego. Et c'est très facile à comprendre.
Les coachs ne sont pas spirituels, ils ont quelques connaissances spirituelles, mais peuvent devenir spirituels en arrêtant de se prendre pour des coachs. C'est la vie qui décide, pas eux-mêmes. Elle leur apportera des gens à guider si ça doit être le cas (c'est énergétique : attraction en fonction de la lumière qu'ils dégagent). Et un vrai spirituel ne se nommera jamais coach.
De toute façon, il est clair de voir que tous les coachs spirituels sur internet galèrent pour se faire des clients. Car ce n'est pas comme ça que ça marche (même en faisant des années de marketing pour hypnotiser les gens, et en quelque sorte les acheter, ce qui est anti-spirituel).
Les vrais spirituels se font connaître des autres ou pas car ce n'est pas une obligation, ils peuvent rester de parfaits inconnus et se sentir très bien comme ça. C'est la différence avec un coach qui en général croit avoir une mission de sauveur (ego et illusion), ou une mission tout court (terme de débutant dans la spiritualité largement répandu comme une règle commune à tous).
Être spirituel, c'est aussi simplement réussir sa vie en intégrant en bien ce que les expériences ont apporté, se déployer en soi-même et être bon envers ses proches.
Il n'y a parfois rien besoin de plus et c'est déjà beaucoup, car la vie humaine est un sacré travail à elle seule.
Pour ceux qui ne seraient pas contents car se prenant pour des coachs, je leur dirais vous n'êtes pas coachs, vous êtes bien plus que ça en sortant d'un rôle limité. Et quand on sort d'un rôle, on n'a plus envie de se nommer. On n'est pas un rôle.
Bien entendu, on peut se dire maçon, boulanger ou dentiste, mais là ça n'a rien à voir avec la spiritualité et de qui nomme son statut spirituel : un moi-je ou la vie ?
Après on peut me dire : "oui mais c'est pour gagner de l'argent avec ce que je sais, pour vivre." Alors il faut "être" plus, non pas "faire" plus, ce qui diminue "être" (lumière --> attraction). Rester des jours entiers sur internet à peaufiner son site, des mots, des images, rectifier, changer encore et encore, faire des pubs à droite à gauche, attendre, perdre son temps dans le fil d'actualité de réseaux sociaux etc, tout ça réduit énormément "être" jusqu'à l'éteindre tout à fait plus le temps est mis là-dedans. "Être" et déployer l'être, son énergie et sa lumière c'est dehors avec la vie, dans la nature d'une part et aussi avec les gens en vivant des choses avec eux. Alors seulement, ce qui est fait sur internet risque de marcher.

08 mai 2023

Bien se nourrir c'est se sentir mieux et créer mieux

Campement : poêlée de légumes et mangue.

Être végétarien ou vegan ne doit pas être un dictat mental mais une décision du corps. Il faut écouter ce que le corps veut et à besoin. Sinon, il risque d'y avoir des gros problèmes de santé, d'importantes pertes énergétiques et des blessures physiques à vie. Certains organismes ne peuvent pas tenir sans manger de viande. C'est encore plus vrai quand il y a beaucoup d'agitation ou beaucoup de sport.
Et quand le corps a une carence en protéines animales, la personne devient irritable et agressive. Il en est de même lorsque qu'il y a excès, car le corps sature et s'abîme de l'intérieur. Ce qui veut dire que les extrêmes ne sont pas bons. 

04 mai 2023

Intégration II

Integrer quelqu'un avec qui l'on crée un problème comme un, c'est devenir plus grand, monter en énergie et faire unité de ses forces. Rejeter, être en dualité, c'est stagner et descendre en énergie, en restant dans la peur (état de victime) plutôt que d'accueillir depuis son être souverain où on est maître de la situation, donc de la transformation.
Peur liée au passé ou le présent avec sa nouveauté ? Seul l'un des deux est réel, mais non abordable depuis l'état de victime (mentalisé) ou il n'y a pas de possibilité de transformation.

Certaines femmes ont du mal que des hommes les trouvent belles et leur disent, allant même par qualifier ces hommes de la pire des espèces. De part leur interprétations/réactions négatives (et jugements), elles montrent qu'elles ont un problème avec le masculin ainsi que sur l'amour qu'elles se portent, sinon il n'y aurait aucun souci à accepter un compliment tout en passant à autre chose.
Mais pour la victime, le compliment n'en est pas un, car générant mentalement tout un tas de pensées négatives à l'encontre de l'autre.
C'est toute la différence entre une personne en unité et une autre en division/dualité, montrant son état intérieur et niveau de souffrance. 
État de souffrance qui peut parfois être caché derrière une image artificielle du paraître justement où tout semble aller très bien. 
Alors induits en erreur, les gens font des compliments sur quelqu'un qui n'est pas capable de les accepter et leur en veut pour ça. C'est tout le paradoxe. Maintenant on a peur de faire des compliments pour ne pas être rejeté...
Mais on célébrera toujours la vie et il n'y a aucun mal à lui dire qu'elle est belle, comme pour des fleurs.
Il y aura toujours des victimes et on ne peut rien pour elles, jusqu'à leur reprise de pouvoir et transformation. 
--> Voir article Pas de victime.

Dans des cas différents, il vaut mieux s'inspirer de gens qui ne rejettent pas les autres.

24 avril 2023

Non humain

L'humain n'existe pas sur cette planète, c'est une invention, une création artificielle génétiquement modifiée. On n'est pas humain. Notre vraie nature est plus celle d'un animal sauvage. Et les animaux sauvages sont nettement plus évolués.
Seule l'âme en nous est réelle, pas ces corps. Mais on peut utiliser ces corps pour retrouver la connexion à l'âme et développer ses facultés extrasensorielles et sa conscience universelle. C'est l'amplitude énergétique (comme chez les animaux sauvages qui l'ont très développée dans leur dimension propre). 
On a les corps animals les plus développés sur cette planète mais des plus inférieurs car on se prend pour des humains (endormis, esclaves et obéissants de l'Ombre), agissant donc comme des robots pour servir. Totals automates en perdition, même après 2000 de souffrance imposée par l'Église, les plus torturés restent les plus fervents disciples. L'Église a depuis donné son pouvoir à la politique et il en est de même, se précipitant tous pour aller voter et vendre leur vie à la même Ombre qui a changé de visage. Aucune chance de réussite. L'âme passe à travers cette dimension éternelle qui se répète sans fin, comme toutes les autres. Les humanités changent et se répètent. Sauf qu'on n'est pas de ces humains. La libération viendra un jour, en faisant monter ses énergies et quand on arrêtera de se prendre pour des humains et de ne plus obéir à qui nous prend comme tels, ce qui est des plus réducteurs. 

20 avril 2023

Campement Nice depuis décembre 2019

19 avril 2023

Dégénérescence

Le virtuel est à l'image des grandes villes ou sociétés humaines : la dégénérescence absolue.
Échec et profonde misère matérielle. 
La misère matérielle ce n'est pas le fait d'être pauvre, c'est le fait que la matière soit appréhendée et modelée de telle sorte qu'elle contribue non seulement à la pauvreté spirituelle, mais aussi à la régression et extinction. Avec une dictature imposée pour tous afin de ne pas se soustraire à cette pauvreté matérielle (ou système), sans choix de ne pouvoir vivre autrement que dans la survie, l'isolement, la marginalité.
Esclave, robot ou mendiant.
Une misère matérielle parce que c'est très bas en énergie et que la vie passe en dernier plan, qu'elle est devenue un produit de consommation, un objet. Tout ça mis en place par l'Ombre.
L'Ombre est choisie par 98% des gens en continuant de croire en elle et d'aller voter alors qu'il faudrait l'abolition de la politique et d'appliquer véritablement les lois avant une totale descente aux enfers ou extinction dans la robotisation (ce qui est déjà mis en place).
La Terre est une planète d'exploitation reptilienne. Et on ne se bat pas contre l'Ombre, on instaure la Lumière, avec la conquête matérielle depuis son propre corps. Non pas à partir d'un moi-je, mais depuis la position de Dieu tout puissant : l'univers total/le Tout/la Source.
La voie est dans la vraie conquête matérielle en l'intégrant dans sa totalité.

17 avril 2023

Intégration

On ne peut pas vaincre la matière qui nous pose problème sans être devenu cette matière.
C'est le seul moyen de la dépasser, en devenant un avec elle au niveau énergétique, en conscience.
Vient un jour où l'intégration est complète et ce n'est plus dense.
Il en est de même pour une personne ou un groupe de personnes. On ne peut pas les dépasser sans les avoir intégrés en soi dans leur force/énergie et en unité.
Si on ne veut faire que monter, on peut certes connaître une super lumière, mais on finira par tomber avec des séquelles et pertes énergétiques.
La réalisation est dans l'ici et maintenant.
Et la vraie conquête matérielle est dans le corps.
--> Voir article Sociétés humaines.

06 avril 2023

Programme Vivre dehors en ville et réussir


Programme Vivre dehors en ville et réussir
Audio d'une heure (mp3)

23 mars 2023

Force pure

Il y a des expériences extrêmes, qui se vivent sur des années, mais elles endurcissent tellement, que l'on est obligé de faire venir une grande force pour y résister.
Cependant, on s'aperçoit finalement que c'était l'être en soi qui n'était pas assez fort, avec également la rudesse ou faiblesse de l'ego dans tout ce qui n'est pas aimé ou accepté, mais aussi dans ses limites et ses "vouloirs".
Les "je veux ci et pas ça" tout le monde connait, toutefois cette résistance ou force conservatrice crée inévitablement du mal-être et un certain conflit avec la vie, avec ce qui est proposé. 
Toujours, la souffrance alors fait office de réveil, d'ouverture et de changement. Il n'y a pas le choix. 
C'est alors des prises de conscience et autres compréhensions. Cela modifie les perceptions et intégrations énergétiques avec la vie, l'univers, de ce fait, l'être en soi change.
En vérité, c'est comme cela depuis l'enfance, sauf que plus on grandit, plus on s'oppose au changement. Et plus la dualité perdure, plus il y a souffrance. Mais la vie ne veut que notre bien. Les gens sont là vie. La vie est les gens. 
Au niveau universel, il n'y a qu'une vie, la même dans tous les corps. Beaucoup résistent, et cela endommage leur corps. 
Prendre comme leçon pour évoluer et faire un avec ce qu'il se passe accroît la force en soi.
Dans la nature, on peut trouver cette force pure qui prend tout son sens en ville. Car la seule force pure de la nature dissout l'être dans une amplification spatiale, même avec une conscience universelle et une expérience de toute lumière, alors que la force de la ville (ou matière dense) amplifie l'être dans sa dimension terrestre, fort et ancré. C'est soit le nuage, soit la pierre. Et je vous le dis, pour vaincre les épreuves matérielles il faut être comme une pierre spirituelle, car le nuage finit en pluie. Ce qui veut dire, qu'il finit anéanti en morceaux sur le sol.
Mais bien évidemment, chaque expérience a sa raison d'être. Les énergies en morceaux sur le sol se réintègrent et avec la compréhension, le nuage se solidifie. C'est l'expérience spirituelle hors des forêts, hors des énergies pures et de la facilité. Le nuage ou être pur et innocent se solidifie de matière dense. Une matière vue dense autrefois de par les difficultés de l'ego, de sa résistance et lutte, mais qui devient une force pure matérielle, tout le contraire de ce qu'apprend la spiritualité de départ. C'est conquérir la lumière de l'obscurité.
Il ne faut pas s'élever, il faut s'enraciner, manger toute la matière divinement. Alors on croit sur 360 degrés, un avec tout. Et jamais on ne perd sa force.

19 mars 2023

Programme EIlI3


La puissance de la spiritualité dans la matière
3 PDF + 1 vidéo + 1 audio MP3 de 33 min
--> À découvrir ici <--

18 mars 2023

Programme Master


Programme Master : Intégrez votre être supérieur 
Programme audio mp3 de 35 min

17 mars 2023

La vraie réussite

Le succès matériel est dans le corps.
Après la conquête spirituelle (simple et accessible à tous), c'est la conquête matérielle dans la matière la plus dense qui soit, de par la conquête du corps dans une agitation quotidienne extrême.
Trois ans de vie sans domicile en ville m'ont appris à vaincre l'épreuve la plus redoutable, en partie grâce aux connaissances acquises plus tôt. Petit à petit, ma pratique se modifie complètement, et la force qui découle alors de l'intégration de ces expériences est non seulement surpuissante mais éternelle.
Les concepts spirituels anciens ne valent plus rien, les yeux fixés sur la seule véritable conquête et le coeur ardent, le corps est lancé à l'assaut de la plus grande des montagnes et rien ne l'arrête.

06 mars 2023

Les loups

Derrière nouvelle en date, des loups ont été aperçus où j'ai mon campement. 
La dernière fois que j'ai senti les énergies du loup, c'était y a 3 ans, vers Braux, dans l'arrière-pays (terme qui ne veut rien dire) comme on l'appelle. J'en parle dans un autre article Campement.
Un c'était approché la nuit et je suis vite parti.
Depuis et surtout ici, juste au-dessus de Nice et entouré de villages, je ne pensais pas que dans cet endroit de nature pouvaient venir des loups. 
Je connais plutôt bien le coin jusqu'à Aspremont et jusqu'au Mont Chauve. Il y a ici au moins 800 hectares. Mais à bien y réfléchir maintenant, c'est vrai que la nature s'étend jusqu'à l'horizon au nord... donc ils sont descendus jusque là, à la poursuite des sangliers.
Bon et bien après les scorpions et les sangliers, je les attends. 
S'ils ne me dérangent pas tout ira bien, comme avec les phacochères avec qui la cohabitation se passent bien. Ils reniflent, grognent pour les nouveaux et passent leur chemin.
Alors si un loup (au niveau universel) décide de ne pas être mon nouvel animal totem, je n'aurais pas d'autre choix que de l'accueillir avec la force de tous mes animaux totem (matériellement).
Ma philosophie de vie, c'est toujours que tout va bien se passer. Si j'en croise un, et quoi qu'il se passe, il y aura d'abord un échange pour sentir et voir ce qu'il en est, en espérant que nous ne fassions qu'un. C'est juste et parfait, car j'en deviens un aussi. Sinon...

15 février 2023

Savoir vivre dehors toute l'année en ville comme dans la nature

Avant je savais vivre dans la nature, dix années de nombreuses retraites spirituelles dans les forêts et en montagne m'ont appris à le faire, avec des bases militaires, plus la lecture de quelques livres.
Il faut bien évidemment de l'équipement et un bon matériel peut durer ensuite plusieurs années. 
Mais savoir vivre dehors en ville, ça, ça demande d'autres notions, car il y a plein de codes et d'attitudes pour ne pas se faire bouffer.
Le gars qui sort tout juste de sa nature avec cinq ou dix ans de méditation derrière lui se fait bouffer. Car maintenant les villes sont de véritables jungles agressives et dangereuses, pour les femmes comme pour les hommes. 
Un homme sans force ça se voit et c'est potentiellement plus une proie que les autres. On ne parle pas de force spirituelle mais matérielle.
Si un jésus était revenu sur Terre y a dix ans, il aurait été bien sûr considéré comme le pire des terroristes. Cette parenthèse pour dire que celui qui veut passer pour un saint en ville serait très mal vu, même avec les meilleures intentions.
Ainsi en ville, avec toute cette agitation, ce bruit, cette pollution et les nombreuses personnes mal intentionnées, la force spirituelle est ébranlée, vacille et s'effondre en moins d'une année. Parce que cette personne s'aperçoit que la seule force spirituelle ne vaut rien et n'est pas incarnée, remplissant son corps pleinement de matière dense. Alors que d'autres n'ont jamais entendu parler de spiritualité et ont leurs racines capables de transpercer des cailloux. Ce qui veut dire que dans la matière, ils sont bien plus forts. Et nombreux de ceux-là vous regardent droit dans les yeux avec férocité, capables de vous rentrer dedans s'il leur semble que vous leur parlez de travers. C'est la ville. C'est une normalité. Et c'est également leur attitude normale du matin au soir sans qu'il n'y ait quelque chose contre vous.
Si vous avez le regard fuyant, peu sûr de vous, vous vous faites bouffer. Il faut le regard aiguisé comme l'aigle, déterminé, la posture solide et imposante, et si en plus les sourcils restent naturellement froncés, vous passez inaperçu. Vous êtes normal. 
Il faut néanmoins observer quelques signes de reconnaissance et de politesse furtifs ou appuyés dans certains cas et que ce soit juste. On les obtient alors en retour.
Bref, après l'acquisition des forces de la ville, en intégrant toute sa lourde matière, il faut ensuite y combiner ses notions de survie dans la nature. 
Donc partout, dans chaque rue, chaque quartier, on peut trouver des choses utiles pour avancer. 
Ici et là-bas il y a un point d'eau, ici un endroit pour uriner tranquille, dans cet immeuble ou cette église de quoi charger son téléphone dans une cachette, dans ce parc de quoi se reposer peinard, dans ce lieu de quoi se débarbouiller etc. 
Il faut donc avoir l'oeil et chercher du regard les endroits propices pour subvenir à ses besoins vitaux ou secondaires. Car dans toute cette agitation qu'est la ville, avoir l'air naturel tout en utilisant ce qui n'est pas destiné aux premiers abords à ses affaires personnelles est synonyme de réussite. Après leur coup d'oeil sur vous, les gens sont pressés de faire autre chose. Et il faut également faire semblant de faire autre chose. Tout ça s'appelle la ruse, la débrouillardise, la stratégie et la discrétion. Alors vous survivrez très longtemps (si en plus vous avez du lien social). 
Car les gens qui savent vivre dehors ont un gros avantage sur les gens qui vivent dans des maisons, enfermés. C'est comme dans la nature, les espèces survivantes sont les plus résistantes mais aussi celles qui s'adaptent le mieux. 
Avant, tous les humains savaient vivre dehors. La peur les enferme et le confort ramollit. 
Il est bien connu que ceux qui vivent à la montagne ou à la campagne sont plus résistants que les autres. Parce qu'ils vivent aussi plus dehors et plus dans la nature. 
Donc il faut s'entraîner à vivre dehors, à essayer de se débrouiller, à voir de quel matériel on aurait besoin s'il était question de survie, à essayer et à s'amuser. Et en vérité, agir sur ça c'est comme du développement personnel. Et c'est aussi gage d'évolution mais encore plus une grande chance de ne pas être pris au dépourvu si demain la société venait à s'écrouler. On a déjà tous les repères et stratagèmes en place. Bien sûr, plus besoin de charger son téléphone dans ce cas-là. J'ai donc des talkies-walkies et assez de piles pour maintenir le contact avec la mère de ma fille. C'est juste un détail, mais qui a une très grande importance et peut faire toute la différence pour voir ma fille et leur apporter des vivres si besoin. 
Vous voyez ce détail, il est puissant en fait. Mais il est aussi crucial que de savoir où se trouve les points d'eau en ville, où sont les endroits où être à l'abri sans être vu, utiliser son argent judicieusement et de ne pas sortir son portefeuille ou ses billets n'importe où.
Autre point important, avoir une réserve de savons compacts et de bouteilles, gourdes et bidons pour stocker de l'eau. Le reste, je le détaille dans l'article "Recommandations campement", où le matériel qui sert dans la nature peut aussi être utile en ville. 
Quand on vit dehors en ville, il faut toujours avoir avec soi un petit sac à dos avec une grande gourde d'eau, des affaires de toilette et de rechange, une serviette, des couverts, son chargeur de téléphone, un k-way et une lampe frontale.
Également, il est vivement conseillé d'avoir et de maintenir une activité physique, de renforcer son corps, qu'il soit apte à courir plus de 30 minutes sans s'arrêter.
Savoir vivre dehors, c'est aussi avoir les bons vêtements et le bon couchage, surtout l'hiver mais c'est aussi une force d'esprit qui a été trop entraîné à vivre enfermé. Alors se retrouvant dehors, l'esprit ou mental est sujet à l'angoisse, à la dépression, à la perdition. D'une part parce qu'il n'y a pas le matériel et d'autre part parce qu'il est perdu, aucun repère. Totale zone de non confort.
C'est pour cela qu'il faut s'entraîner à vivre dehors. Une semaine par-ci, deux semaines par-là, c'est déjà un très bon début. 
Ainsi on fait petit à petit ses marques, on voit de quoi on a besoin, on évite de reproduire certaines erreurs, on n'oublie plus telle chose etc.
Et en vérité, on redevient vivant. On est plus dans la vraie vie, on se sent plus grand et on se débarrasse de l'inutile, du superflu. Il peut venir aussi plus de maturité, plus de sagesse. Mais il y a une grande différence entre la ville et la nature. Aussi je recommande d'allier les deux. Car il est dur de garder sa sagesse en ville, la nature y aide mais la ville apporte sa force. Il faut combiner ça. La densité avec la pureté. Dur dur. Il faut être fort. 
Vivre dehors apprend à être fort, à surmonter d'incroyables états d'âme, car il n'y a pas le choix, pas d'échappatoire. Ainsi, c'est sa nature en soi qu'il faut y amener et y mettre toute cette force matérielle extérieure à l'intérieur. 
La conclusion, c'est que le simple spirituel qui se faisait bouffer, c'est lui qui maintenant bouffe la ville. Tout est en soi mais ici il faut dire : bonne chance, car la ville est la pire des jungles.
À côté, la forêt, après la sérénité c'est la sécurité absolue, même la nuit. Et c'est là où on dort le mieux et qu'on peut le plus se recharger. Donc, même en ville, toujours établir son campement non loin, dans un coin de nature sous les arbres et proche d'un point d'eau. Car bien entendu, vivre dehors ne veut pas dire d'abandonner sa voiture.

12 février 2023

Campement février 2023

09 février 2023

Leurre de l'ego spirituel II

La tour d'illusion de la fausse identité virtuelle, ou comment se croire quelqu'un d'important quand on est personne.
Être personne est ce qu'il y a de plus grand à vivre à l'extérieur, non pas transférer son identité dans un moi virtuel bâtissant une tour d'illusion où le vrai moi s'enferme et regarde le monde, finissant par croire être sa construction virtuelle.
Et plus ce qui est construit est vaste et long dans le temps, plus l'ego spirituel est grand.

08 février 2023

Pas de victime

Quand on se sent victime, ça veut dire qu'on est responsable. Ce sont les lois universelles. Responsable de soi-même.
Mais on en souffre tant que nos croyances sont fausses et qu'on n'a pas repris les choses en main.
Car dans la réalité, il n'y a ni victime ni bourreau. Il n'y a que l'Un. "L'autre" (Dieu, l'Univers) est son autre soi en maître. Non pas pour lui obéir, mais pour l'intégrer, apprendre de soi et se transformer.
Ainsi celle ou celui qui se croyait victime devient maître et ne peut plus agir en bourreau pour se faire redevenir victime (loi de cause à effet, et dimension artificielle produit par l'état mentalisé duel et de division). 
Et comme il n'y a que l'Un, cette bulle astrale peut être à vie tant que la personne n'a pas accès à la réalité, et en arrêtant de se faire subir ce qu'elle croit à tort venir de quelqu'un d'autre. La victime est le bourreau. Si on cesse d'être bourreau, on n'est plus victime.
Un autre que soi n'existe pas, tout comme de croire que l'extérieur est responsable de ses problèmes. On est créateur de l'extérieur.
Certains élaborent de grandes stratégies pour échapper à leurs problèmes/miroirs, ils en font même des programmes de vente ou des conférences, propageant de ce fait la dimension de division où ils restent prisonniers et où un soi-disant autre serait fautif, qu'ils traitent parfois de différents noms new age régressifs et dévalorisants, passant ainsi de victimes à bourreaux. Ils ne font que se fuir eux-mêmes, fuir leurs responsabilités et ne peuvent évoluer.
Si on voit quelqu'un qui n'agit pas bien, on l'aide à faire mieux (l'Un) au lieu de le juger et de le condamner (victime bourreau).
Quand on a intégré l'Un, on ne peut plus se plaindre de quelqu'un d'autre ni en être affecté, et les vrais spirituels voient clair. L'autre c'est soi et dans la réalité il est une force. Mais en se mettant en victime, on est divisé et on cesse d'être une force.
Victime et bourreau sont un et ils appartiennent à la même dimension mentalisée de division.
Dans l'Un, il n'y a plus de ça, on se sait responsable de ce que l'univers nous envoie et on agit avec unité.
Quand on n'est plus victime, on rigole des choses qui nous embêtent parce qu'on est plus fort que ça et qu'on les utilise pour évoluer. 
Bien sûr, il faut toujours défendre quelqu'un qui se fait agresser (soi-même).
Je dirais pour finir : il n'y a pas de victime, que du karma.
--> Voir aussi article Il n'y a pas de relation toxique.

07 février 2023

L'IA, l'ultime couverture rep

Après le terrorisme, la 5@G et les va%c$c@ins, place à l'IA (suite logique et programmée), ou comment contrôler des robots par des robots, tous connectés. Et c'est un libre arbitre, voulue par une humanité qui choisit le virtuel comme Dieu, par peur de la vie. Car seules les marionnettes (politiciens) des vrais "maîtres" se montrent. Et leurs joujoux robots peuvent se montrer aux humains virtualisés admiratifs. 
Les Dieux de la Mort. Servir la Mort. Obéir et se sacrifier, toujours, comme une normalité (vous êtes pécheurs...), en échange d'une survie matérielle aléatoire mais méritée et des milles distractions, avec le sourire.

06 février 2023

Affronter le froid

On se dit que ça va aller, qu'on est prêt, qu'on s'est bien entraîné, mais non, le froid finit toujours par prendre le dessus. Faut faire avec. 
Alors après l'entraînement physique, la résistance, tout se passe dans la tête. 
Décembre ça allait, janvier ça allait (avec quelques gerçures aux doigts), février il fait encore plus froid. Mais il faut s'entraîner à rester dehors. J'ai sorti les gants, le bonnet, la capuche.
Le soir, à devoir se servir d'objets, les doigts sont à l'air et complètement froids. Il doit faire au alentour de zéro. Mes pieds eux sont gelés. Les pauvres baskets que j'ai ne valent rien, avec une paire de chaussettes basiques. Il faut impérativement investir plus haut. Chaussures et chaussettes plus épaisses l'hiver, obligatoirement. 
De ce fait, avec l'expérience directement sur le terrain, on peut prévoir pour son confort. Et l'hiver étant la saison la plus dure, on ne doit pas être pris au dépourvu ni rien négliger.
Sac de couchage le plus résistant (-25 degrés) impératif. Apres couverture polaire au-dessus car ça ne suffit pas. L'important l'hiver, ce sont les couches pour garder la chaleur, comme pour les vêtements. Donc la nuit, pour dormir au chaud, il faut 3 couches : le sac de couchage + 2 couvertures épaisses au-dessus. Là il ne reste plus qu'à trouver le toit (tente, bâche, les 2). Ainsi pas de problème pour survivre. 
Ici j'ai un bidon de 10 litres pour la toilette, et il y a une fontaine à 20 minutes de marche. 
Ça aussi c'est impératif. Où se place un campement, doit avoir non loin une source d'eau. Et si non potable, prévoir des filtres à eau.
Autre point important : pour combattre le froid, surtout pendant des mois, faire du sport régulièrement, voire tous les jours (footing, pompes, squats, tractions, gainage). Ça réchauffe, fortifie le corps, donne plus d'assurance, habitue à avoir chaud). Et ça, ça solidifie aussi le mental.
En plus, se faire un repas chaud le soir, boire des tisanes bio et pratiquer la méditation. 
Je parle ici pour les gens qui vivent dehors, qui n'ont pas d'autres choix, mais aussi pour ceux qui souhaitent suivre une discipline de vie. 
J'en parle dans la pratique RD. 
Si vous êtes intéressé, contactez-moi à eipho@live.fr
Pour les autres, le plus important c'est d'investir avant qu'il ne soit trop tard : tente, bâche, sac de couchage, couvertures, paracorde, bidon, gourde, combustibles, sac à dos, lumière frontale, briquets, et garder un moyen de locomotion, ainsi que des liens sociaux (plus d'infos dans "Recommandations campement" du 31 août 2021).
Pour ma part, j'ai un super campement (qui ne vaut pas la caravane que j'ai eu en 2012), mais je suis bien équipé et j'ai des liens sociaux qui me permettent de gagner de l'argent. Je me débrouille. 
Il faut toujours garder le cap, toujours faire confiance en la vie mais en même temps aller dans son sens, ne pas perdre les rails ou se laisser aller. Chaque jour est une nouveauté pour accueillir du nouveau et être bon envers les gens. 
Car y a que comme ça qu'on peut s'en sortir, en offrant le meilleur de soi.
Évidemment, être à la rue signifie souffrance en Occident. Mais les souffrances peuvent s'atténuer et disparaître en allant vers du mieux, plutôt que de s'isoler et rejeter le monde (là ça sera pire). 
Il faut aller vers..., même écorché(e), démuni(e), appauvri(e), aller vers la vie. Et la vie transforme et guerit.

28 janvier 2023

Les signes de la vie

La meilleure chose que Dieu ait faite en matière de message pour le retour aux sources, à la réalité ou présence (revenir à soi), sont les animaux sauvages, et plus précisément ceux appelés animaux totem. Non pas dans l'imaginaire mais de ceux qui existent vraiment et viennent nous voir ou parler quand c'est le bon moment. 
Animaux totem car ils représentent des parts de nous-mêmes. Et dans tout les cas, c'est un appel au retour à la nature. 
Quand cela arrive, inévitablement il y a eu égarement, car si ce n'est pas le cas, la connexion à la nature est constante, donc à toutes sortes d'animaux "totems" au quotidien.
Je parle de nature, la connexion aux énergies en premier lieu, alors les animaux totem peuvent arriver en visions et messages intérieurs.
J'ai eu plusieurs fois l'occasion de vivre ces expériences. 
La première et la plus marquante a été en 2009 dans une forêt de pins magnifiques aux senteurs et énergies bienfaitrices. J'y méditais tous les jours, dos contre un pin, les paupières mi-closes, absorbant les reflets divins du soleil à travers les branchages. Une lumière dorée inondait le lieu et mes énergies étaient d'une pureté incroyable. C'était doux, lumineux, transcendant, intemporel. 
Soudain, un infime craquement se fait entendre sur ma gauche. Je tourne la tête au ralenti et je vois une magnifique petite biche me regarder. Elle incline trois fois la tête comme pour me saluer. Elle est à quatre mètres. Je lui renvoie doucement sa salutation. Tout se fait tout seul. Mes paupières et ma tête se baissent légèrement vers elle. C'est subtil. Une intensité de lumière plus grande envahie l'espace. Et la petite biche passe alors tranquillement devant moi en faisant passer ses trois petits qui ne m'ont pas vu et mangent des brins d'herbe paisiblement. Ce moment est magique. Je n'ai pas bougé. Le temps n'existait plus. Un sourire se dessina sur mes lèvres et une douce joie me remplit le coeur.
Une autre fois je médite dans une forêt de bambous, le soleil se couche, tout est dans la pénombre. Mes énergies sont hautes, fortes. Tout d'un coup des gros claquements d'ailes se font entendre. Une grosse chouette invisible vient de se poser devant moi sur une branche au-dessus. Je suis accueilli dans le lieu par la gardienne et peux y revenir quand bon me semble. 
Quelques années plus tard, ce lieu a disparu emporté par les flots. 
Deux autres signes en montagne, à deux moments différents. 
Une fois je m'apprêtais à faire Compostelle en partant en mars avec un sac de 25 kilos (deux grosses erreurs), en commençant depuis Saint-Jean-Pied-de-Port dans les Pyrénées.
Au dernier village, avant de monter pour la haute montagne, un chien de berger sort de je ne sais quelle baraque et commence à me suivre.
Il me retarde car il veut toujours jouer. Il ramasse n'importe quel bâton ou caillou et me les dépose devant les pieds. Il veut jouer. Trente fois, quarante fois, cinquante fois je me suis baissé pour lui lancer. On s'arrête, partage un casse-croûte et on reprend la route.
Sur un haut plateau, des chevaux sauvages s'avancent menaçants, guidés par un fort étalon. N'ayant pas le temps qu'on me coupe la route, je dis au chien : "protège moi". Il se met en travers et aboie sur les chevaux. Ceux-ci me laissent alors passer.
Plus tard et un peu plus haut, le chien tout d'un coup se baisse sur ses pattes, il n'avance plus, son ventre touche presque le sol tellement il est baissé et il regarde l'horizon. Je lève la tête et là.... je n'avais jamais vu des nuages aussi noirs. Ils surplombent les montagnes devant et vont droit sur nous à grande vitesse. Je n'ai pas le temps de mettre mon sac au sol pour sortir mon poncho, qu'une pluie de grêlons nous tombe dessus. J'avance péniblement. En cinq minutes, la route devient verglacée. Je glisse et chute plusieurs fois. Je saigne, je n'ai pas de crampons, tout est blanc. On est en train de se prendre une grosse tempête. 
Je ne peux franchir le col, impossible et trop dangereux. Et y a quoi de l'autre côté ? Il me faut un abri de toute urgence. 
Je me retourne et vois plus bas des cabanes de bergers. On y court avec le chien. Les quatre premières sont fermées. La cinquième s'ouvre. Il y a juste un banc, c'est parfait. Je ferme et barricade la porte aux planches de bois rudimentaires avec une bâche.
On se met à l'aise, partage un repas et malgré le vent qui siffle et la neige qui s'accumule dehors, on dort bien. 
Le lendemain, j'ai compris le message : je n'ai rien à faire dans les montagnes quand j'ai des choses à régler ailleurs. Je fais demi-tour et ramène le chien à son village. Cet être super intelligent, en jouant constamment avec moi m'a empêché de franchir le col en me prenant la tempête de l'autre côté avec sûrement l'incapacité de revenir et de ne pas trouver d'abri. M'a t-il sauvé la vie ? Car je ne sais pas ce que ça donne toute une nuit dehors en haute montagne sous les grêlons et la neige en dormant par terre...
En arrivant au village, sa propriétaire qui était par enchantement devant une maison me dit : "qu'est-ce qu'il est bête ce chien, il suit tous les randonneurs". Ah ok, c'était le gardien du Col. Merci à lui.
Une autre fois, je monte en haut d'un pic. La randonnée est superbe, en face, le pic du Midi d'Ossau. Grand ciel bleu, avec l'autre grande couleur dominante : c'est tout vert partout. Les dix derniers mètres se font en escalade. 
Je pose mon sac et je vais pour boire un coup et manger un morceau quand je regarde machinalement derrière moi vers la plaine. Nom de Zeus ! Une mer de nuages arrive à toute allure. Dans cinq minutes c'est le brouillard total. Vite, je remets mon sac sur les épaules et descends en courant après la partie rocailleuse.
En peu de temps, la température change et d'un seul coup mon corps se trouve comme dans une matrice grise, humide, mouvante, froide, sans aucune visibilité. 
Bon sang... je n'y vois plus rien. Où est le chemin ? Impossible de se repérer. Le décor a complètement changé. Il n'y a plus de grandes étendues à perte de vue, ni d'horizon, ni de vue sur une quelconque descente. Il n'y a que les quelques mètres autour de moi. Mais soudain, un petit oiseau arrive de je ne sais où. Il se plante à quatre mètres et gazouille. Machinalement, étant la seule âme qui vive, mon corps va en sa direction. Alors il s'envole et se pose un peu plus loin, mais toujours pour que je puisse le voir. Alors je le suis. Et il fait ça de nombreuses fois. 
Et qu'est-ce que faisait ce petit oiseau ? Il me montrait le chemin. 
J'ai pu finir par entendre le son de la rivière plus bas et me diriger vers elle, indiquant la route.
Voilà un moment que je ne suis pas reparti seul dans la nature avec un sac à dos. D'une part, parce que maintenant j'ai ma fille et que d'autre part je n'ai plus 25 ou 30 ans. Porter un sac à dos de 25 kg demande beaucoup de force et d'énergie. 
L'avant dernière fois que je l'ai fait, c'était pour aller dans la forêt d'Iraty et j'en ai bavé. Après trois heures de marche en monté, on a qu'une envie c'est de trouver un lieu pour établir son campement. Mais quand on ne trouve pas, ce n'est pas facile entre minimiser ses efforts parce qu'on ne sait pas combien de temps ça va durer ou les amplifier pour trouver au plus vite.
Deux campements : le premier n'en pouvant plus se fait dans une clairière au détour d'un chemin. Le lendemain matin, départ accéléré avec le passage d'un troupeau de chèvres et de boucs passant autour de ma tente et perché sur une branche en attendant leur éloignement. Et pour le deuxième, un très bel endroit magique et surréaliste à la découverte d'espaces inconnus, des lisières de forêts verdoyantes d'où flottent à leurs pieds des nuages constants comme des vapeurs, mais sentant une présence ou plutôt un regard, la sensation d'être épié. 
En arrivant et en explorant le premier jour, je tombe sur un aigle immense qui s'envole à mon arrivée en haut d'une colline. Deux mètres entre nous. Magnifique mais impressionnant. Le message, c'était de partir de là.
Puis des bruits de gros animal dévalant la colline et venant renifler mon campement chaque soir toujours un peu plus près. Je sais par expérience que ce n'était ni un cervidé ni un sanglier. J'ai préféré écourter le séjour.
C'est une fois également, sur la magnifique randonnée du Lurien que j'avais installé ma tente aux abords de la forêt. Le soir même, un puissant orage éclate. Je suis né dans les Landes et les orages là-bas sont très forts. À deux pas de l'Atlantique, les éléments se déchaînent. Mais là en montagne, dans un cirque encaissé, l'orage est de toute violence, avec un bruit intensifié, assourdissant.
L'éclair et le son sont synchrones, ce qui veut dire que l'orage est au-dessus. Ce soir là j'ai prié. Mais plus encore quand j'ai entendu des bruits lourds autour de ma tente et des reniflements. Je me suis mis en méditation avec mon poignard à portée de main. 
J'ai peu dormi et suis reparti dès le lever du jour. J'étais sûr que c'était un ours. D'ailleurs, c'est cette nuit là que j'ai intégré ses énergies totem.
La dernière virée avec un sac à dos ça a été avant la naissance de ma fille. Cette fois-ci de l'autre côté de la France, dans les Alpes-de-Haute-Provence. 
Après une randonnée, je trouve un endroit sympa où bivouaquer. Je m'installe pour le premier soir sous un grand chêne, mais je m'y trouve trop exposé. Le lieu est chouette mais quelque chose ne va pas. Je décide de trouver un autre endroit et monte plus haut. Je trouve des ruines sur un flanc de montagne. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit que j'y serais à l'abri.
J'explore alentour et trouve une carcasse de sanglier encore odorante. Des loups.
Je barricade les ruines et me protège au maximum pour la nuit. J'ai prévu de rentrer dans une semaine car à cet endroit personne ne passe et je m'y suis fait déposer. Aucun transport. 
Chaque nuit, des bruits deviennent de plus en plus forts. Le jour je me sens observé et pas à l'aise.
Le jour du départ, je le fais en courant. Sur la route, j'attends trois heures avant que quelqu'un ne passe. L'homme qui m'a conduit à une gare ensuite m'a confirmé : " tu es fou, tu as failli te faire bouffer, y a des loups ici ! ". Message : arrêter de vouloir s'enfuir dans la nature pour réchapper à la réalité. La nature, c'est elle qui nous trouve.
Quelques années plus tard, après avoir intégré les énergies sanglier ici, les oiseaux se manifestent à moi depuis un moment sur ma route, sur chaque chemin. Ils me disent de ralentir, plus profiter de la vie. Mais j'ai beaucoup moins de temps qu'avant.
Aujourd'hui ce sont eux qui viennent me réconforter par cet hiver et m'apporter des messages. Il n'y a plus de fuite cette fois, je vis en ville. Quoique... quelque part je fuis les difficultés de cette ville car ce n'est pas vivable pour moi, mais suis obligé d'y rester. Ou peut-être qu'en vérité, maintenant c'est l'inverse, c'est ma nature que je fuis... (parce qu'elle est incompatible avec la société humaine notre vraie nature).
Ils viennent à moins d'un mètre. Ce sont des petits rouges-gorges. Il y en a deux ou trois. Je leur ai acheté des graines. Apparemment c'est ce qu'ils me demandaient. Ça me fait du bien de les voir car la vie ici n'est pas facile. Ils sont des signes de la vie, des messages de vie et ils me réclament.
Alors je vais bien m'occuper d'eux, qui me demandent donc de bien m'occuper de moi. Car les rouges-gorges s'ils ne trouvent pas à manger l'hiver, meurent.

25 janvier 2023

Note

Être libre, c'est rester sans corps.
La réincarnation est un piège.
Un corps matériel signifie esclavage.
On peut tout expérimenter sans corps.
Pour peu qu'on se rappelle qui on est et qu'on soit libéré de sa prison.

Le péché originel dont il est question dans la bible (livre satanique de la pire des sectes), a été à des âmes pures et très grandes (mais innocentes et naïves) de goûter à de la nourriture matérielle sous l'influence du serpent (les reptiliens). Ainsi au niveau vibratoire, le corps énergétique s'est solidifié en un corps matériel de part la nourriture avalée et transformant les molécules de lumière en molécules densifiées.
De ce fait, les corps énergétiques qui étaient avant libres et amplifiés, se retrouvent prisonniers et amoindris dans la dimension de la nourriture mangée. Et plus la nourriture est lourde, plus les corps se densifient, ce qui impacte sur la conscience, l'endort et réduit les pouvoirs du corps énergétique.
Ensuite, on a plus qu'à imposer des lois, de la peur, du temps pour oublier, et on a de parfaits serviteurs. 
L'humain n'est là que pour exploiter la planète pour le compte d'autres qui les exploitent. Ça s'appelle le travail. 
La connexion à l'âme est perdu pour 95% de ces êtres.
Et également 95% des enseignements spirituels sont falsifiés pour servir l'Ombre et rester sur ce plan, en faisant croire que c'est la Lumière.
Des âmes plus fortes s'incarnent alors les reptiliens ayant expérimenté sous le règne nazi la nourriture chimique, ont validé avec les gouvernements traites et corrompus des additifs E... pour rendre malade, détraquer le corps, déstabiliser le mental et le rendre fou. Ça s'appelle la nourriture industrielle et fast-food. L'Organisation Mortelle de la Santé a pris le relais, dirigée par les mêmes.
Aux âmes les plus grandes qui se sont tournées vers le vrai bio et les pratiques spirituelles, ils ont rajouté les ondes électromagnétiques pour mettre une chape de plomb qui écrase la conscience et bousille les énergies pour empêcher toute évolution.
Pour ceux qui ont de hautes énergies, qui sentent ces ondes et qu'on appelle les électrosensibles, c'est un calvaire au quotidien avec maux de tête constants. La meilleure méthode consiste alors à ne plus monter en énergie mais à s'ancrer au maximum. 
Les démons qui mettent en place tout ça seront de futurs humains devant recommencer tous les règnes humains depuis le début, avec bien sûr, l'équivalent en souffrance qu'ils ont causé. 
Quant aux autres, aux résistants, voilà le prix à payer pour avoir pris un corps et croire que c'était pour évoluer, ou bien à toutes les autres âmes endormies qui ont été placées là comme du bétail dans la chaine d'un abattoir qui réduit tout en bouillie sans aucune considération et sans qu'elles ne se rendent compte de rien.
L'humain autorise ça, donc il l'autorise sur lui. "Mangez car ceci est mon corps et mon sang...". De même pour les laboratoires sur des animaux vivants, il est alors aussi un cobaye pour d'autres. Ce sont les lois universelles.
De ce fait, à un moment donné, certains Starseeds doivent réintégrer une partie de leur ombre qui est un ancien reptilien. Il s'agit alors d'une part de leur corps universel. Et ce sera très dur à mettre en lumière. Mais qui prend un corps est sujet au karma et personne ne réchappe aux lois universelles.
Ainsi les premiers (ceux qui sont au pouvoir grâce à l'exploitation des êtres), seront les derniers.
Quant aux vainqueurs de l'Ombre (dans la force matérielle unifiée), aux affranchis, ceux qui ne sont plus intéressés par les sociétés humaines (donc par la mort, c'est-à-dire tout ce qu'elle a de nuisible à  proposer), félicitations.

23 janvier 2023

Bientôt la fin

19 janvier 2023

Le froid


Voilà une bonne semaine que les températures sont bien descendues. Il faut rester actif et bouger encore plus. 
Sport le matin et marche ensuite. 
Le soir, se faire un repas chaud. Plus trop le temps de traîner dehors ensuite. Les mains et les pieds sont gelés malgré les squats et les pompes. Vite, dans le sac de couchage avec la couette hiver par-dessus et la grosse couverture polaire au-dessus. Là, y a plus d'hiver qui tienne. Jusqu'au matin... Repas rapide avec début de footing short tee-shirt les mains dans les poches, à l'assaut du Mont Chauve. 
Étape de vie à la militaire et souvenirs du 9ème RCP.
Le lendemain matin, c'est tout blanc. Mais il s'agit de la grêle tombée cette nuit. 
J'ai finalement ressorti les gants et le bonnet, ça va bien mieux. 

Soupe de légumes chaude, le top

16 janvier 2023

Sur les joies de vivre dehors, ses difficultés et la dignité

Nombreux sont ceux, et combien ils ont raison ici dans les sociétés occidentales, de considérer l'état de sans domicile comme l'extrême niveau au plus bas de la place sociale.
La grande vérité derrière cette considération est la peur inconsciente de vivre cette même expérience. Démuni, sans toit, sans argent, qui suis-je ?
Alors il y a tout une identification sociale qui rentre en jeu et à laquelle, inconsciemment, on adhère car on ne voit pas la richesse de l'expérience mais plutôt sa pauvreté. 
Sa pauvreté car c'est ce que montre, en apparence, ceux qui vivent dans cette situation. 
Pourtant, nos origines viennent de la nature n'est-ce pas ? 
Pourtant, avant on savait vivre dehors. On savait se débrouiller avec ce qu'offrait la nature et à mon sens, on était bien plus évolué ou du moins connecté que maintenant. 
Si demain la société s'écroule, que savent faire les gens ? Perdition, dépression ou guerre civile (en somme : la loi du plus fort ou du plus débrouillard).
Il y a une personne qui m'est proche et qui juge ma condition, j'aimerais lui dire qu'il faut voir plutôt si elle arriverait à se débrouiller aussi bien dans cette situation.
C'est ça qui est important, savoir vivre et se débrouiller sans rien en utilisant ce que la nature ou la vie nous offre. Saisir les opportunités, voir clair, être vif d'esprit et savoir débusquer (ou sentir) en une fraction de seconde les gens dignes de confiance ou non.
Je fais des campements dans la nature chaque année depuis 2009 (et c'est à l'armée tout d'abord qu'on m'a appris à le faire). J'ai lu quelques livres de survie. J'ai expérimenté et validé certaines choses importantes et essentielles.
Ce qu'il faut savoir, avant tout, avant de s'aventurer dans la nature ou d'y être contraint (car je ne conseille absolument pas d'être sans domicile en ville), c'est que le moral ou mental doit être fort. Pour cela, lire mes anciens articles au libellé "Campement". Car inévitablement, et pour une première ça peut être le choc, voire le traumatisme. 
La nature est notre meilleur allié !
Il faut prendre ça comme un retour "positif" aux sources. 
Ensuite (voire mon article "Recommandations campement), trouver le bon matériel et s'installer dans un lieu sûr. La seule chose ensuite concernera la nourriture. 
La dignité peut en prendre un coup. Ne pas pouvoir se laver quand et comme on le veut a été pour moi le plus éprouvant. Bien sûr et en deuxième position, manger à sa faim. Quelques fois j'ai fouillé dans les poubelles ou bien compté mes centimes pour pouvoir m'acheter une baguette de pain pour la journée, mais ça a été plutôt rare.
J'ai toujours refusé de faire la manche. Toujours je me suis dit que je pouvais me débrouiller. 
À présent, même en dormant dehors j'ai suffisamment à manger et je fais du sport tous les matins. 
La dignité humaine est quelque chose de très important. Elle joue sur le moral d'une façon très significative. On ne s'en rend pas compte comme ça quand on a une salle de bain, une cuisine et un frigo, ou même une machine pour laver son linge, mais quand on a rien de tout ça on se trouve appauvri, voire moins que rien. Que faire, comment faire ? Telles seraient les questions et problèmes de 90 % des gens. 
La société actuelle ne nous apprend rien, si ce n'est d'être un bon consommateur et un bon producteur. Elle offre de multiples diversités et distractions. Mais la vie, la vraie vie elle est où là-dedans ? Sait-on qui on est, d'où on vient, pourquoi on est là, et surtout, sait-on être quelqu'un de bien ? Sait-on devenir l'être unique que l'on est sans se fondre à un moule ? Sans imiter les conditionnements d'une société qui ne sait plus vivre dans la vraie vie ? 
C'est là toute la difficulté de cette époque, car on ne veut pas entendre de la vie dehors. Ce n'est pas possible, la société humaine est tellement bonne pour nous... Elle nous offre tellement de choses pour nous détourner de nous-mêmes. Ce serait pure folie que de l'abandonner ou pire, qu'elle nous abandonne. Que deviendrons-nous ?
Je vous le dis, soit des êtres souverains soit des moins que rien.
Et un truc des plus importants, c'est qu'on se fiche royalement si on n'a pas pris de douche depuis 4 ou 5 jours quand il s'agit de manger et d'être bien.
La dignité humaine, se sentir digne, c'est dans la tête. Soit on s'apprécie tel que l'on est, dans n'importe qu'elle situation, soit on se sent inférieur et ça ça ne date pas d'hier. 
Donc, même sans rien, dehors, on peut se sentir fort et quelqu'un de bien. Et ça, ça fait toute la différence. Non seulement pour vous, mais pour tous ceux que vous croisez, que ce soit dans la posture et l'attitude.
Le vrai pouvoir, la vraie création, c'est dans la tête en premier lieu et comment on s'occupe de son corps en deuxième lieu.
Tout change et peut changer en fonction de ce que l'on veut créer en soi et dans quoi on donne ses énergies. 
Paix et Amour.