Il n’y a que soi partout et dans tout. Tout ce que l’on regarde est l’intĂ©rieur de soi-mĂȘme. Dans l’individuel il y a l’universel et dans l’universel il y a l’individuel. Macrocosme et microcosme sont identiques car sans fin ni milieu. Tout Ă©tant le centre de toute chose, c’est la mĂȘme prĂ©sence dans chaque sujet-observateur, chaque conscience. Sans notion spatio-temporelle, oĂč y a t-il un moi valable ? Tout est soi. Une seule et mĂȘme vie en toute chose. La rĂ©incarnation est donc propre Ă la Source, pas au moi. Le vĂ©ritable “Je suis” ou “je suis untel” est valable pour tous les ĂȘtres, dans tous les ĂȘtres, car au final il n’y en a qu’un.
Le but ultime de l’ĂȘtre conscient est alors de protĂ©ger la vie (pour chacune de ses cellules, dans son corps individuel tout comme dans son corps universel) et de croĂźtre (Ă l’image de la nature) en respectant ces lois.
L’espace qu’il y a entre les ĂȘtres est identique Ă l’espace qu’il y a entre nos cellules. Nos cellules peuvent se croirent divisĂ©es et sĂ©parĂ©es mais elles ne forment toutes qu’un seul et mĂȘme corps. C’est pareil pour les humains. De mĂȘme, les planĂštes sont des cellules et les galaxies des chakras. Le corps est l’univers, l’univers est lumiĂšre. Le sombre est ce qui en soi n’a pas encore Ă©tĂ© Ă©clairĂ©.
VidĂ©o croquis rĂ©alisĂ©s en 2010 pour le livre “Eipho-Guidance”, qui devient en 2016 “RĂ©alisation spirituelle”.
Bien sĂ»r, la rĂ©alisation spirituelle n’existe pas. C’est toujours la rĂ©alisation d’un Ă©tat. Un Ă©tat qui lui-mĂȘme se rĂ©alise toujours d’une façon diffĂ©rente.