Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est trÚs facile à cÎté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misĂšre matĂ©rielle ou pauvretĂ© matĂ©rielle ce sont les sociĂ©tĂ©s humaines, les villes, non pas le fait d'ĂȘtre pauvre.
Cepenpant, conquĂ©rir la MatiĂšre est l'expĂ©rience suprĂȘme de l'Ăąme.

Prestations :

Programmes de développement :
programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

10 mai 2023

Les vrais spirituels et les coachs

Les vrais spirituels se font connaĂźtre des autres, ou pas, pas par eux-mĂȘmes. Ça c'est l'ego. Et c'est trĂšs facile Ă  comprendre.
Les coachs ne sont pas spirituels, ils ont quelques connaissances spirituelles, mais peuvent devenir spirituels en arrĂȘtant de se prendre pour des coachs. C'est la vie qui dĂ©cide, pas eux-mĂȘmes. Elle leur apportera des gens Ă  guider si ça doit ĂȘtre le cas (c'est Ă©nergĂ©tique : attraction en fonction de la lumiĂšre qu'ils dĂ©gagent). Et un vrai spirituel ne se nommera jamais coach.
De toute façon, il est clair de voir que tous les coachs spirituels sur internet galĂšrent pour se faire des clients. Car ce n'est pas comme ça que ça marche (mĂȘme en faisant des annĂ©es de marketing pour hypnotiser les gens, et en quelque sorte les acheter, ce qui est anti-spirituel).
Les vrais spirituels se font connaßtre des autres ou pas car ce n'est pas une obligation, ils peuvent rester de parfaits inconnus et se sentir trÚs bien comme ça. C'est la différence avec un coach qui en général croit avoir une mission de sauveur (ego et illusion), ou une mission tout court (terme de débutant dans la spiritualité largement répandu comme une rÚgle commune à tous).
Être spirituel, c'est aussi simplement rĂ©ussir sa vie en intĂ©grant en bien ce que les expĂ©riences ont apportĂ©, se dĂ©ployer en soi-mĂȘme et ĂȘtre bon envers ses proches.
Il n'y a parfois rien besoin de plus et c'est déjà beaucoup, car la vie humaine est un sacré travail à elle seule.
Pour ceux qui ne seraient pas contents car se prenant pour des coachs, je leur dirais vous n'ĂȘtes pas coachs, vous ĂȘtes bien plus que ça en sortant d'un rĂŽle limitĂ©. Et quand on sort d'un rĂŽle, on n'a plus envie de se nommer. On n'est pas un rĂŽle.
Bien entendu, on peut se dire maçon, boulanger ou dentiste, mais là ça n'a rien à voir avec la spiritualité et de qui nomme son statut spirituel : un moi-je ou la vie ?
AprĂšs on peut me dire : "oui mais c'est pour gagner de l'argent avec ce que je sais, pour vivre." Alors il faut "ĂȘtre" plus, non pas "faire" plus, ce qui diminue "ĂȘtre" (lumiĂšre --> attraction). Rester des jours entiers sur internet Ă  peaufiner son site, des mots, des images, rectifier, changer encore et encore, faire des pubs Ă  droite Ă  gauche, attendre, perdre son temps dans le fil d'actualitĂ© de rĂ©seaux sociaux etc, tout ça rĂ©duit Ă©normĂ©ment "ĂȘtre" jusqu'Ă  l'Ă©teindre tout Ă  fait plus le temps est mis lĂ -dedans. "Être" et dĂ©ployer l'ĂȘtre, son Ă©nergie et sa lumiĂšre c'est dehors avec la vie, dans la nature d'une part et aussi avec les gens en vivant des choses avec eux. Alors seulement, ce qui est fait sur internet risque de marcher.