Integrer quelqu'un avec qui l'on crée un problème comme un, c'est devenir plus grand, monter en énergie et faire unité de ses forces. Rejeter, être en dualité, c'est stagner et descendre en énergie, en restant dans la peur (état de victime) plutôt que d'accueillir depuis son être souverain où on est maître de la situation, donc de la transformation.
Peur liée au passé ou le présent avec sa nouveauté ? Seul l'un des deux est réel, mais non abordable depuis l'état de victime (mentalisé) ou il n'y a pas de possibilité de transformation.
Certaines femmes ont du mal que des hommes les trouvent belles et leur disent, allant même par qualifier ces hommes de la pire des espèces. De part leur interprétations/réactions négatives (et jugements), elles montrent qu'elles ont un problème avec le masculin ainsi que sur l'amour qu'elles se portent, sinon il n'y aurait aucun souci à accepter un compliment tout en passant à autre chose.
Mais pour la victime, le compliment n'en est pas un, car générant mentalement tout un tas de pensées négatives à l'encontre de l'autre.
C'est toute la différence entre une personne en unité et une autre en division/dualité, montrant son état intérieur et niveau de souffrance.
État de souffrance qui peut parfois être caché derrière une image artificielle du paraître justement où tout semble aller très bien.
Alors induits en erreur, les gens font des compliments sur quelqu'un qui n'est pas capable de les accepter et leur en veut pour ça. C'est tout le paradoxe. Maintenant on a peur de faire des compliments pour ne pas être rejeté...
Mais on célébrera toujours la vie et il n'y a aucun mal à lui dire qu'elle est belle, comme pour des fleurs.
Il y aura toujours des victimes et on ne peut rien pour elles, jusqu'à leur reprise de pouvoir et transformation.
--> Voir article Pas de victime.
Dans des cas différents, il vaut mieux s'inspirer de gens qui ne rejettent pas les autres.