Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est très facile à côté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misère matérielle ou pauvreté matérielle ce sont les sociétés humaines, les villes, non pas le fait d'être pauvre.
Cepenpant, conquérir la Matière est l'expérience suprême de l'âme.

Prestations :

Programmes de développement :
programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

12 mai 2023

Dilemme

Je dépense 550 à 600 euros par mois pour ma fille alors qu'elle ne vit pas avec moi.
300 euros pour son Ă©cole, 100 Ă  150 pour ses sorties du mois et 150 de pension versĂ©s Ă  sa mère. 
J'ai 200 euros d'essence par mois et 90 pour l'assurance voiture et le tĂ©lĂ©phone. 
Ce qui fait un total de presque 900.
J'en gagne 700 Ă  750 avec mon travail et j'ai 350 euros de rsa. Ce qui fait 1100 euros.
1100 - 900 = 200 euros (ce qui me reste par mois pour manger). 
Autant dire que pouvoir m'acheter des habits est rare.
Je pourrais prendre un studio s'il n'y avait pas cette Ă©cole oĂą sa mère et moi avons dĂ©cidĂ© d'inscrire notre fille mais il faut en gagner le double et prioritĂ© Ă  elle. 
Le dilemme c'est qu'on me propose un logement social qui me revient presque au mĂŞme prix lorsque j'avais un studio de 20 m² Ă  270 euros avec l'aide au logement (loyer de 500). 
Bien entendu, je préfère que ce soient des gens qui ont plus de difficultés que moi qui en profitent. Et je n'ai pas d'argent pour payer un logement social à 250 euros par mois.
Donc je reste encore au campement pour l'instant.
J'ai mis des annonces pour des gardes de nuit auprès de personnes âgées et/ou handicapées, car aide à domicile est mon job principal mais mes journées sont déjà bien remplies, même trop et je suis hyper fatigué de cette vie, dans cette ville.
Je fais tout ça pour ma fille, qui indirectement m'aide Ă  vaincre cette matière oĂą je ne serais jamais restĂ©, car les villes sont les pires endroits oĂą vivre. Je prĂ©fère dormir dans la nature, en journĂ©e je n'ai pas le choix. 
Je suis un animal sauvage, c'est-à-dire un être évolué de la nature. L'esclavage, me conduire en robot, vivre dans les basses énergies, je n'y arrive pas.
Il y a eu une période où c'était un animal en colère qui descendait en ville chaque matin, les poings fermés. Maintenant, l'animal est apaisé.
Ici, les arbres, les sangliers et les loups sont avec moi, en moi. Totem. 
Le cerf restera toujours le premier (Pyrénées Atlantiques).
Densité matérielle intégrée, paix.