Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est trÚs facile à cÎté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misĂšre matĂ©rielle ou pauvretĂ© matĂ©rielle ce sont les sociĂ©tĂ©s humaines, les villes, non pas le fait d'ĂȘtre pauvre.
Cepenpant, conquĂ©rir la MatiĂšre est l'expĂ©rience suprĂȘme de l'Ăąme.

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programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

23 mars 2023

Force pure

Il y a des expĂ©riences extrĂȘmes, qui se vivent sur des annĂ©es, mais elles endurcissent tellement, que l'on est obligĂ© de faire venir une grande force pour y rĂ©sister.
Cependant, on s'aperçoit finalement que c'Ă©tait l'ĂȘtre en soi qui n'Ă©tait pas assez fort, avec Ă©galement la rudesse ou faiblesse de l'ego dans tout ce qui n'est pas aimĂ© ou acceptĂ©, mais aussi dans ses limites et ses "vouloirs".
Les "je veux ci et pas ça" tout le monde connait, toutefois cette rĂ©sistance ou force conservatrice crĂ©e inĂ©vitablement du mal-ĂȘtre et un certain conflit avec la vie, avec ce qui est proposĂ©. 
Toujours, la souffrance alors fait office de rĂ©veil, d'ouverture et de changement. Il n'y a pas le choix. 
C'est alors des prises de conscience et autres comprĂ©hensions. Cela modifie les perceptions et intĂ©grations Ă©nergĂ©tiques avec la vie, l'univers, de ce fait, l'ĂȘtre en soi change.
En vĂ©ritĂ©, c'est comme cela depuis l'enfance, sauf que plus on grandit, plus on s'oppose au changement. Et plus la dualitĂ© perdure, plus il y a souffrance. Mais la vie ne veut que notre bien. Les gens sont lĂ  vie. La vie est les gens. 
Au niveau universel, il n'y a qu'une vie, la mĂȘme dans tous les corps. Beaucoup rĂ©sistent, et cela endommage leur corps. 
Prendre comme leçon pour évoluer et faire un avec ce qu'il se passe accroßt la force en soi.
Dans la nature, on peut trouver cette force pure qui prend tout son sens en ville. Car la seule force pure de la nature dissout l'ĂȘtre dans une amplification spatiale, mĂȘme avec une conscience universelle et une expĂ©rience de toute lumiĂšre, alors que la force de la ville (ou matiĂšre dense) amplifie l'ĂȘtre dans sa dimension terrestre, fort et ancrĂ©. C'est soit le nuage, soit la pierre. Et je vous le dis, pour vaincre les Ă©preuves matĂ©rielles il faut ĂȘtre comme une pierre spirituelle, car le nuage finit en pluie. Ce qui veut dire, qu'il finit anĂ©anti en morceaux sur le sol.
Mais bien Ă©videmment, chaque expĂ©rience a sa raison d'ĂȘtre. Les Ă©nergies en morceaux sur le sol se rĂ©intĂšgrent et avec la comprĂ©hension, le nuage se solidifie. C'est l'expĂ©rience spirituelle hors des forĂȘts, hors des Ă©nergies pures et de la facilitĂ©. Le nuage ou ĂȘtre pur et innocent se solidifie de matiĂšre dense. Une matiĂšre vue dense autrefois de par les difficultĂ©s de l'ego, de sa rĂ©sistance et lutte, mais qui devient une force pure matĂ©rielle, tout le contraire de ce qu'apprend la spiritualitĂ© de dĂ©part. C'est conquĂ©rir la lumiĂšre de l'obscuritĂ©.
Il ne faut pas s'élever, il faut s'enraciner, manger toute la matiÚre divinement. Alors on croit sur 360 degrés, un avec tout. Et jamais on ne perd sa force.