Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle (signe d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante).
De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est très facile à côté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
Conquérir la Matière est l'expérience suprême de l'âme.
Suivez mon journal et retrouvez des conseils utiles pour survivre et évoluer.
30 décembre 2022
Situation
29 décembre 2022
La voie
25 décembre 2022
Alignement
24 décembre 2022
Festin
22 décembre 2022
13 décembre 2022
Force tranquille
09 décembre 2022
Depuis la fenêtre
Vue depuis l'intérieur de la tente après une nuit entière de pluie. J'attends une accalmie pour rejoindre ma voiture à 20 minutes de marche.
04 décembre 2022
Le message était le coussin

17 novembre 2022
3 Hivers
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Chaque matin avant de partir en ville |
11 novembre 2022
Campement
05 novembre 2022
01 novembre 2022
30 octobre 2022
Sociétés humaines
29 octobre 2022
Programme pour le Nouveau Monde
(Tiré du livre “La seule façon de changer le monde“ https://www.amazon.fr/dp/1072044358) :
Quand des lois sont faites par des hors-la-loi, alors ces lois ne sont pas valables.
L’humanité a au moins 500 ans de retard sur son évolution, étant maintenue délibérément dans l’ignorance.
Il est grand temps que ceux qui ont fait échouer le monde et l’humanité laissent leur place, et de choisir les lois universelles plutôt que celles de l’ego. Toute forme de politique a été, est et sera nuisible à l’être humain et à la planète.
Les humains n’évolueront plus dans la souffrance ni dans la soumission quand les lois universelles seront accessibles à tous et qu’ils adopteront ces lois et non plus celles de l’ego (politique/autodestruction). Et le pouvoir en place auquel obéissent forces de l’ordre et militaires et se soumettent les humains est celui de l’Ombre (l’Ego obscur).
Comment peut-on faire confiance à une poignée de gens qui n'ont bâti leur pouvoir que sur l’exploitation des êtres ?
Toute forme d’impôt et de taxe exercée par le gouvernement est un délit.
Si tout l’argent volé par les banques mondiales, les gouvernements et le Vatican était redistribué à chaque pays, chacun pourrait vivre dans l’abondance pendant 100 ans.
Les lois universelles sont connues, on peut les partager mais pas les imposer. Et les lois qui sont imposées sont celles de l’ego. Donc quand on vote, on perpétue le règne de l’ego (dominants-dominés, contrôles, injustices, dualités, basses énergies, souffrances, dégénérescences, enfers).
On ne peut plus continuer comme cela, l’humanité est prête au changement et à passer au stade supérieur.
La politique, la présidence, pour qui voter, ou pas ? + Programme
Comment se fait-il qu’encore aujourd’hui, après tant de démonstration dans l’histoire, autant de gens fassent toujours confiance à la politique, qui ne fait que les voler, les manipuler, les asservir, les empoisonner, les rendre malades, déconnectés et lobotomisés ? Parce qu’ils ne voient aucune autre option au changement, aucune autre alternative que la politique pour améliorer leur vie. Mais en faisant cela, c’est tout juste l’inverse qui se produit, alors que des alternatives à un changement meilleur, il y en a plein.
Pour qu’il en soit ainsi, il faut faire un peu plus confiance en la vie qu’en la mort. Car c’est bien cela qui se produit. Les humains préfèrent-ils la mort, mettant donc en place un système qui les détruit ? Et dans lequel ils vendent leur vie et leur liberté en échange d’argent, d’une illusoire sécurité, d’un peu de confort, mais surtout de beaucoup de distractions… pour échapper à la réalité (soi-même) ?
Cette incapacité à choisir une autre option ou alternative s’appelle la peur. Mais tout ceci est utile au monde 3D, l’ego duel est une étape nécessaire. Au bout d’un moment, c’est dépassé. Un monde de dualité, dominant/dominé, n’appartient qu’à l’être duel en lui-même.
Tout comme dans le temps, où l’on devait obligatoirement se soumettre à une religion, ses lois et coutumes, il en est de même pour la politique. Ce n’est qu’une affaire d’évolution.
Les gens en ont marre que les politiques les volent et les plongent de plus en plus dans la misère, mais les gens continuent de voter pour les politiques. N’y a-t-il pas quelque chose d’étrange ?
Tant que les gens se font du mal, ils auront un gouvernement qui leur fait du mal. La politique est une machine mortelle qui ne nous veut pas du bien, elle veut juste le pouvoir. La destinée du Nouvel Ordre Mondial est l’autodestruction.
Pour qui voter ? L’universel, non plus l’individuel
Je vote pour Nous, c’est-à-dire pour l’Un (l’unité, la totalité). Car si je vote pour quelqu’un en particulier, je vote pour un ego, un mental. Même si cette personne en représente cent, mille, cent mille, et qu’elle y met la meilleure volonté, ses lois ne seront jamais justes pour tous, car un mental est toujours limité, conditionné et partisan. Donc en votant pour Nous, je ne vote pour personne, car nous sommes déjà élus, et que nous n’avons pas besoin de chaînes pour être contrôlés, pas de lois égotiques pour être dominés.
Les artisans et les enseignants du Bien sont déjà là. Les lois naturelles universelles sont déjà là. Voter pour « lui » ou pour « eux » c’est opprimer le Nous (notre totalité), réduire nos libertés et ce que nous sommes, et permettre à la division de s’installer. À chaque fois que nous votons pour qu’une partie de nous-même et non pas la totalité, nous nous faisons du mal.
Dans une société évoluée, il n’y a ni alcool, ni tabac, ni poison comme la nourriture chimique. La société prend soin des individus, de leur santé et de leur bien-être.
Dans une société évoluée, il n’y a ni arme, ni armée, ni haine, ni violence. Une société évoluée vit dans l’amour et la paix, elle n’a pas d’ennemi ni ne s’en fabrique.
Dans une société évoluée, le pouvoir, la domination et le contrôle sur les individus n’ont pas cours. La liberté et l’égalité sont une réalité.
Dans une société évoluée, les gens ont du respect entre eux et envers la nature. Ils y vivent en symbiose, parce qu’ils savent qu’ils sont tout cela, que tout cela ne fait qu’un.
Dans une société évoluée, les gens sont connectés aux énergies qui les entourent, les maintiennent et les amplifient. Ils ont supprimé toute pollution.
Dans une société évoluée, il est donné à chacun la possibilité et les moyens de trouver et d’exprimer son propre potentiel de créateur divin.
Dans une telle société règne l’harmonie et la joie. Y sont enseignés la connaissance de soi, les lois universelles, ainsi que le développement personnel et la connexion avec le divin à travers l’activation du corps subtil, l’ouverture du coeur, et toutes autres voies bénéfiques à chacun. Une telle société vit exclusivement dans le déploiement sans cesse fleurissant de la conscience, de l’élévation de l’être universel, et accorde une place importante à la présence dans l’instant.
Voici ce qui pourrait être un programme juste pour le nouveau monde :
Ainsi, on sortira d’un système qui maintient les gens faibles, malades et ignorants, les entraînant dans la régression et l’extinction, au profit de leur développement et évolution, de leur liberté et de leurs véritables pouvoirs. Car actuellement, ils se font volontairement dépouiller de tout, en donnant leur santé, leurs libertés, leur argent et leur vie.
28 octobre 2022
Retrouver sa lumière et libération
L’état d’humain ne peut pas être réussi, seulement dépassé. J’entends par “dépassé”, être passé au-dessus de ses activités. Qu’elles n’affectent plus, qu’elles n’intéressent plus et qu’elles n’apportent plus rien de bon. Mais pour cela, il faut les avoir expérimenter jusqu’au bout dans ce qu’elles ont à apporter, donc les avoir intégrer pour pouvoir s’en libérer.
Pourquoi l’état d’humain ne peut être réussi ? Parce que la nature de l’humain est malade, il n’est pas conçu naturellement, il est artificiel, du moins ici sur cette Terre. Et dès le plus jeune âge, l’éducation nationale du mal-être le coupe de son corps, de ses énergies, de la vie et de l’univers, éteint sa conscience, son intuition et ses dons, en développant exclusivement son mental qui le réduit à la petite entité ” moi-je”, dans laquelle il plonge ou plutôt sombre. Toute sa société est alors à son image : formatée, conditionnée, limitée, déconnectée, détraquée.
Bien évidemment, toute la vie de l’humain est une expérience fascinante, grandiose, pour peu qu’on y mette de la conscience. Mais cet état d’humain reste pure souffrance. Sa société est pure souffrance. Rester dans cet état, c’est souffrir toute sa vie.
Qu’importe la réussite : matérielle, physique, culturelle, sociale, etc., rien ne satisfera ou n’apportera le bonheur à cet état d’humain profondément malade. Parce qu’il vit déconnecté, dans son mental, dans les distractions, l’agitation, le virtuel, l’illusion. Il s’est perdu et erre dans ses ténèbres inconscientes et répétitives.
Comment réussir dans ces cas-là, sortir de la souffrance pour de bon ? Quelqu’un nous quitte et on souffre, on perd sa renommée, on est discrédité, dénigré, on souffre. On perd ses biens, on souffre. On a trop et on veut encore plus, on souffre. On cherche l’amour, on souffre. On court après le bonheur, ou l’argent, on souffre autant. Même sans rien faire ou n’ayant plus rien à faire, on souffre. Car jamais l’état intérieur ne pourra être satisfait, détendu pour de bon, en paix totale sur le long terme tant qu’on est dans l’inconscience du “moi”, en passant sa vie à faire sans jamais être.
C’est la triste condition de cet état d’humain malade, qui détruit tout en commençant par lui-même. C’est ce qu’il appelle faire la fête. Ou tout simplement ce que font la majorité des gens quand ils ont du temps libre : mauvaise nourriture, tabac, alcool, drogue et déconnexion dans le virtuel (écrans en tout genre). Tout cela, c’est se détruire. C’est le passe-temps favori.
Or, il y a une échapatoire, une réussite possible, voire même une réalisation. Et elle est réelle, bien là et accessible pour grand nombre. C’est en dépassant tout ça.
Dépasser veut dire également, renoncer. Renoncer à l’image des Sâdhus qui ont quitté les activités du monde, quitté les distractions, tout ce qui crée de la souffrance et tout ce qui déconnecte de la vie. Ils ont adhéré pour de bon à la conscience, à l’instant-présent (c’est-à-dire sans pensée), ils ne sont plus identifiés au moi-je/ego.
Seulement ce n’est pas de ce renoncement dont je parle. Ici, il n’est pas question de renoncer à la matière (la moitié de soi-même) ou de rejeter quoi que ce soit. Il n’est pas entendu que la matière soit l’illusion. Non, l’illusion c’est de vivre déconnecté, dans son mental, et où que l’on observe, ne voir que ses propres pensées, brouillant la réalité et créant un voile d’autant plus grand sur les énergies, la vibration, la présence.
Nous y sommes. Être dans la présence, c’est cela qui sauvera l’être de l’humain, lui fera dépasser sa condition. Et pour être dans cette présence, il faut être dans la conscience.
Aucunement, la société malade et détraquée de l’humain permet d’être dans la conscience, dans la présence. Il y a trop de choses à faire, trop d’agitation, trop de bruit, à l’image de son mental. C’est sa création inconsciente, le reflet de son état intérieur.
Et tout cela est violent, agressif, suicidaire. La nature y trouve peu de place. Il n’y a pas de silence, pas d’immobilité, pas de repos. Or, tout être humain a besoin de temps, voire beaucoup de temps pour guérir de ses maux, se retrouver, se ressourcer. On ne lui en donne ou permet quasiment pas. Bien sûr, il s’agit de sa création.
Chaque être humain a vécu des choses difficiles, dans son enfance, dans son adolescence puis ensuite à l’âge adulte. Pour chaque événement difficile, il faut s’arrêter, se retrouver seul, avoir le temps de rentrer en soi, prendre soin de soi, panser ses blessures, intégrer et assimiler les expériences. Et ça ne se fait pas en un week-end…
On dit que le travail c’est la santé, mais cette phrase est uniquement juste pour ceux qui se détruisent durant leur temps libre. Pour les autres, le travail est devenu un fardeau qui les abîme et qui continue à créé agitation et déconnexion avec eux-mêmes, donc pas de guérison possible, pas d’états de mieux-être, pas d’évolution intérieure ou très peu. On n’a pas le temps pour travailler sur soi, en soi, de régler ses problèmes. On doit seulement travailler pour son mental, en étant pressé de faire plein de choses inutiles à contre courant de la vie (société), comme une machine, un robot.
Alors vient un jour où il y a une scission, on n’en peut plus, on arrive à bout, avant le burn-out peut-être. Il y a un changement de conscience, on veut autre chose, et ce monde ne peut nous l’apporter, du moins cette société déconnectée, vivant dans le faux.
Vers où se tourner, quoi faire, où aller ? Boire et se droguer encore plus ou s’occuper enfin de soi, vraiment ?
On ne lui a pas appris à l’humain de s’occuper de lui-même. Est-ce concevable ? Six mois de recueillement, et on devient aux yeux de la société (du mental) un fainéant, un marginal ou un exclu, une bête curieuse. Qu’importe, car vu les valeurs de cette société, quelle est l’importance de ses dires ? Mais tout a du bon. Laisser la déconnexion à ce qu’elle est, c’est le début du détachement.
Et là l’éveil spirituel commence.
On devient quelqu’un d’autre, on change d’identité. On s’intéresse à de nouvelles choses, on laisse tomber les anciennes. Alors c’est la recherche, la quête. Lire sera grandement préférable, chez soi ou encore mieux dehors. Car les écrans déconnectent de la vie. Cependant, il y a une tonne de documentaires intéressants sur la spiritualité, le développement personnel, les ovnis etc. On fera ses expériences le temps qu’il faudra.
Toutefois, vient un moment où on est saturé. Alors on plonge en soi, et on y découvre l’univers. La méditation est l’activité numéro un pour se transcender, trouver la paix, comprendre la vie, monter en énergie, se guérir, accéder à des plans de conscience supérieure. La marche, le yoga et le tai chi ou qi gong quant à eux, font circuler l’énergie dans le corps et ouvrent les canaux.
Avec cette nouvelle identité, vient peut-être de nouvelles choses à faire. On se trouve une mission, des choses à réaliser. Et on se replonge sans le savoir, inconsciemment dans un nouvel ego, plus grand au sens dimensionnel. C’est ce que l’on appelle l’ego spirituel. Mais encore une fois, son expérience est nécessaire et utile.
Nous apprenons de ce fait tout sur les lois universelles, l’unité et la dualité, par conséquent les expériences de couple où les mêmes schémas se répètent. Montrant à l’individu tant bien que mal, les agissements de son couple intérieur (son énergie masculine et son énergie féminine), mais également les apports dimensionnels de ses polarités de vies passées non-réglées. Et il retrouve tout cela dans ses miroirs : parents, amis, collègues, conjoints. Tous des parties de lui-même.
Toujours, la souffrance est là. Elle attend bien sagement que l’ego n’accepte pas, ne veuille pas, ou pas voir, qu’il se révolte, se ferme, coupe l’amour et les énergies. C’est l’individu duel qui passe son temps à se battre contre lui-même, manquant d’amour pour lui-même, affecté par ses propres blessures, lesquelles sont réfléchies sur ses miroirs extérieurs qui lui reprojettent. Se divisant, croyant être deux, il vit dans son illusion, dans sa dimension duelle, 3D, astrale.
Encore la souffrance. Et il continu malgré tout de rechercher l’amour, le bien-être, la paix. Alors de nouveaux isolements surviennent, avec ses phases d’injustice, de victimisation, mais aussi ses prises de conscience et moments de paix lumineuse. Jusqu’à qu’un jour tout finisse par lâcher et qu’il comprenne tout, et parfois bien des années plus tard, après son premier éveil. Peut-être dix ans, vingt-ans se sont-ils passés. La recherche prend fin.
Pour de bon, l’être se tourne en lui-même. Pour de bon, il saisit le reflet de ses énergies intérieures. Il comprend comment les unir, comment se laisser aller, s’abandonner dans la réalité, retrouver la connexion, les énergies, la présence, maintes fois perdues au cours de ses expériences difficiles, duelles, divisées, lui faisant perdre la connexion à la conscience, à la vie. Mais qui lui montraient qui il était dans l’instant, ou plutôt ses zones d’ombres pas assez acceptées, aimées, éclairées.
Sa vie, qui a été une étude profonde, révèle alors tous ses secrets. Il fallait le bon moment : que les expériences soient assez faites, qu’elles aient été assez riches, assez assimilées. Alors une nouvelle ouverture a lieu, bien plus significative qu’elle n’a jamais été. Et avec elle un état de bien-être divin.
L’être sait qu’il a trouvé, qu’il s’est (re)trouvé. Et il n’a pas ou plus besoin d’aller le crier sur les toits, dans les réseaux sociaux. Plus besoin d’aller de nouveau se déconnecter. Tout cela ne l’intéresse plus, la souffrance ne l’intéresse plus, car le moi a perdu son emprise. La présence est devenue plus forte. L’univers est bien plus vaste à l’intérieur du corps, la conscience y devient de nouveau universelle, la présence est alors partout bien plus grande et les énergies remettent tout en place dans le corps qui monte ainsi en vibration.
De ce fait, la société prend une autre allure. Elle s’illumine. Et ce n’est pas de la réussite de l’humain, mais d’avoir dépassé son état. C’est la lumière intérieure qui est projetée. Alors le monde change à nouveau, comme à ce premier éveil vécu des années plus tôt, mais avec toute la maturité des expériences en plus.
Comme un Sâdhu, l’être qui a réalisé cela dit adieu aux activités humaines inconscientes, pour ne pas dire presque toutes, mais avec gratitude. Il laisse ça à ceux qui se cherchent, ou qui errent et sont dans la peur. Ses autres moi universels, autres parties de lui-même dimensionnelles, parce que tout est un.
Alors sa lumière et son état d’unité lui amènent obligatoirement l’abondance. Dans le rien total, pleinement accepté et transcendé, on y trouve le tout de l’univers. C’est là que vient l’abondance ultime, et elle est définitivement sans souffrance. Car l’état d’humain est dépassé et avec lui sa dimension. Ce n’est que là que les actions les plus parfaites avec l’univers se mettent en place toutes seules et sans effort. Parce que c’est l’état de parfaite coopération.
Au-dessus de l’humain, l’état dimensionnel est pur paradis vibratoire, dont la conscience universelle ouvre les portes au cosmos de l’Etre infini au sein même du corps, qui alors s’amplifie et change de fréquence.
Au final, pour pouvoir dépasser l’état, être libéré, il faut que tous les maux de l’expérience humaine soient illuminés, mis en pratique comme tels et transcendés. Retirer, ou ne plus vouloir, tout ce qui empêche à cette réalisation, c’est sortir du “moi”.
Réussir sa vie, c’est aussi être quelqu’un de bien, mais réussir à dépasser l’état d’humain, c’est réussir à dépasser complètement l’ego, la matrice humaine.
27 octobre 2022
Ancrage, force et autre
C’est le même air qu’il y a dans un vase, à l’extérieur du vase et dans le vase d’à côté.
À l’intérieur de la forme et de par les sens employés, une conscience spécifique se crée, qui doit se rappeler qu’elle est en tout et partout.
C’est en intégrant son ombre entièrement et en l’unifiant, qu’on accède pour de bon à son être divin sans risquer de chuter et d’endommager le corps. D’abord le bas et faire ce qu’il y a à faire avec cette matière. Sinon il n’y a pas d’ancrage, le haut lumineux sera désolé et la chute inévitable.
La connaissance n’amène pas forcément à l’éveil.
L’éveil c’est sentir. Être dans la présence ou, être dans la conscience. Mais mieux encore : être dans la présence de la conscience ou dans la conscience de la présence.
C’est un état intérieur. La connaissance survient ensuite, de cet état, car alors, elle est mise en pratique. On connaît, ce qui est différent de savoir.
Il n’y a besoin de rien, seulement d’être dans le présent, ici et maintenant, connecté à soi-même/l’univers, à son silence intérieur. Alors inéluctablement, la conscience se déploie et acquiert la connaissance par l’expérience pure et directe.
Penser ou être présent
Le monde qui existe est tout autre du monde qui est vu et interprété par la pensée. Personne ne peut le voir ni le sentir à moins de faire monter ses énergies et d’être dans la présence.
En plus de sa propre déconnexion par la pensée, partout (dans les sociétés dites modernes) la déconnexion est imposée par l’agitation mentale, et ce depuis l’enfance, ce qui ne permet de voir qu’un monde sans vie (sans vibration) et enlise de plus en plus dans l’inconscience. Mais dans un monde endormi, quand rien d’autre n’est connu, le monde d’illusion est une normalité.
Il n’y a pas de matrice ou d’obscurité autre que celle dans laquelle on est endormi. Car il n’y a que la Lumière qui existe. Et puis, on finit par devenir de plus en plus vivant et changer de fréquence, de dimension, en accédant de plus en plus à la réalité.
Le bon chemin est celui qui donne le plus d’énergie, le plus de joie. Comme n’importe quel choix.
Il en est de même pour les pensées et les croyances, quand elles ne donnent pas de bonnes énergies, c’est qu’elles ne sont pas bonnes/fausses.
Pareillement, quand l’énergie de vie circule bien dans la colonne vertébrale, il est impossible de se tenir avachi.
Être comme un arbre. Observer la rivière des pensées et des émotions couler devant soi. Ancré puissamment dans la Terre, avec le souffle et la force de vie propulsant dans le ciel, en voyant de hauteur, avec recul et détachement. Solide comme un roc, s’imprégnant d’eau et s’enroulant de vent et de soleil, c’est la conscience ouverte à tous les plans comme un, dans le point immuable de l’ici et maintenant, que de par l’Union le centre est trouvé. De la vraie nature immortelle, même si la forme est changeante, toutes choses est une, projetées par le centre lumière.
La pratique spirituelle doit incorporer le sport (même s’il s’agit de la marche, tai chi ou yoga), la méditation, la contemplation, le ressourcement, le soin, l’activité intellectuelle, l’activité créatrice et l’activité sociale. Nourriture bio (beaucoup de fruits et de légumes).
L’activité individuelle doit être égale à l’activité sociale. C’est servir à égalité son être individuel que son être universel.
Ne plus perdre de temps et endormir sa conscience sur les écrans quand il n’y a rien à y faire.
Même dans le dénuement matériel, quand on est riche à l’intérieur on ne peut pas se sentir pauvre.
Ceux qui sont pauvres sont ceux qui n’ont pas de cœur, voire pas d’âmes. Et comme ces gens sont vides à l’intérieur, ils ont besoin d’être au pouvoir, parce qu’ils n’ont rien à offrir sinon prendre tellement ils sont vides. Et dire que jusqu’à maintenant, l’humanité leur obéit, se soumet à eux et entretient leur domination…
Ancrage, intégrer l’animal totem, soleil intérieur, intuition, confiance, détermination, pouvoir créateur, conscience/présence, offrir sa lumière personnelle, le chemin.
Sois fier(e) de tes origines, fier(e) de tes parents, fier(e) de ton peuple et de ta race l’humanité. Sois fier(e) de qui tu es, de ce que tu as réussi et essayé. Sois fier(e).
Marche droit devant, la tête haute, en aimant ton frère, ta sœur, ton fils et ta fille. En aimant les autres parties de toi-même qui sont tous les êtres.
Sois fier(e) d’avoir eu le cœur en sang, d’avoir traverser les rivières de la désolation et de tenir droit(e), transpercé(e) par la flamme de la Vie.
Sois fier(e) d’avoir arpenté les champs terrestres et d’y voir passer les mille ciels couchants.
Sois fier(e) et prends ta force de l’expérience matérielle, avec unité.
Que ta fierté toujours soit digne des valeurs humaines. Alors tu n’as rien à craindre.
Tu peux garder la tête haute, avec ton cœur ouvert.
Il fera enfin bon vivre partout sur cette planète quand plus personne ne fera confiance en la politique, quand les lois universelles seront installées et que tout ce qui envoie des ondes électromagnétiques soit retiré.
La vie devrait être faite de sport, de méditation, de contemplation, de balades dans la nature, d’activité liée au bien-être et développement personnel, de rire, de soleil et d’amour.
L’humain n’est ni une machine, ni un programme d’ordinateur, c’est de l’énergie.
Si on vient de la Source ou créé par Dieu, et que l’espace-temps est une illusion, que tout est ici et maintenant, ça veut dire qu’on est toujours dans la Source, toujours dans Dieu, qu’on n’en a jamais bougé. Que tout autour de soi est la Source ou Dieu. Et encore mieux, qu’on est la Source, qu’on est Dieu.
Alors pourquoi cette distorsion dans les choses que l’on voit autour de soi et cette vision matérielle de soi-même ?
Cela provient de cet état de conscience et en est la réflexion (inconscient/conscient, c’est à dire dans la mi-ombre mi-lumière) et de la dualité en soi (l’état de séparation et de lutte). Ce lieu, cette dimension, est perçue avec une conscience qui a les paupières à moitié ouvertes sur la réalité, comme lorsqu’on se réveille un matin d’hiver et que la lumière du jour apparaît légèrement.
Ensuite, le pouvoir créateur fait le reste.
Même dans un lieu artificiel, complètement dépouillé d’énergie de vie qu’est le mental virtualisé, à travers les centaines de pensées, formes et noms différents que l’on observe, on ne fait que se regarder soi-même.
Il y a des sentiments, émotions et énergies que l’on peut ressentir, mais elles ne proviennent pas d’une machine. Soit de soi-même, soit de l’univers. Dans tous les cas, elles proviennent d’un environnement extérieur à l’espace sans vie dans lequel on plonge la conscience ici.
Une fabrication virtualisée qui offre effectivement des millions de perspectives, de créations, de connaissances et de distractions, mais à trop y mettre sa vie, on finit par ne plus vraiment vivre dans la vraie vie. Et cette vraie vie, où il y a la véritable connexion, la présence ou pure conscience, se fait de moins en moins sentir. On enrichit son esprit mais on tombe en énergie.
En définitive, est-on sûr d’être vivant là maintenant ?
Dès qu’on quitte les écrans, les énergies remontent. On est un peu moins happé par l’agitation mentale, plus dans sa respiration, plus avec son vrai soi. Mais peut-être que c’est cela qui est difficile.
La porte c’est le corps. La connaissance sans le corps fait chuter.
Sur le chemin spirituel, il est primordial, voire impératif d’avoir un bon ancrage avant de vouloir l’ascension (s’élever vibratoirement).
L’ancrage, c’est la force de l’Expérience, ou force Matérielle, et elle s’acquiert par un total amour, une totale acceptation de soi-même, de l’enfance jusqu’à maintenant.
Ainsi, la force de vie est présente et totale en bas de la colonne vertébrale et descend parfaitement dans des jambes solides, faisant un en connexion avec la Terre (comme un arbre).
Ensuite, par la respiration et la présence à soi, le ventre doit également faire passer l’énergie de vie. Le souffle conscient pratiqué avec la respiration abdominale amène le ventre à se relâcher, se détendre pour libérer les peurs qui y sont stockées.
La nourriture joue à ce niveau un rôle essentiel. Le pain, les viennoiseries, les sandwichs, les pizzas etc, endormiront le ventre et conserveront les peurs dans l’inconscience. Le ventre sera bloqué et ne laissera pas passer l’énergie.
Les fruits, les légumes et les jus, permettront au ventre de se purifier et aideront à libérer les densités emmagasinées dans cette zone.
Ce qui amène non seulement à des prises de conscience, à un état vibratoire supérieur de bien-être, mais également à éclairer encore plus son soleil intérieur (3ème chakra). Donc à attirer plus de choses positives dans sa vie.
Quand on ne fait pas ce qu’on est destiné à faire, on perd ses énergies et on s’épuise. La vie devient une lutte permanente où l’on s’abîme et s’attire des choses négatives.
La principale cause est la peur d’être qui l’on est vraiment et de le montrer.
Évidemment, la société et l’éducation ont jouer leur rôle là-dedans, alors on pratique le mimétisme. On prend des chemins détournés par peur de briller ou de s’exposer.
Le bon chemin est celui qui nous met en joie et nous procure beaucoup d’énergie. Il est à sa propre image, unique et il existe. Aussi faut-il se connaître.
Alors il est évident qu’en offrant à l’univers sa vraie nature sans se cacher, il réponde en conséquence et même plus.
Il est question de sa lumière personnelle, ce qui ne peut être le cas tant qu’on reste dans la victimisation, attaché à ses souffrances.
Ainsi le travail sur soi est primordial. Guérir son passé, guérir le corps, s’aimer et s’accepter en entier. De ce fait, on devient de plus en plus créateur et de moins en moins exploité.
Il y a des thérapies et thérapeutes, mais si l’on veut un résultat marquant et définitif, il faut se prend en main seul. S’explorer soi-même, hors de l’agitation et du bruit.
Bien entendu, il est nécessaire de partager, d’apprendre des uns des autres et de demander conseil.
Quand des lois sont imposées, ces lois proviennent toujours de l’Ombre.
L’humanité obéit plus à son ombre qu’à sa lumière. Jusqu’à quand ?
Mais un des grands secrets de l’univers, c’est que tout est à l’intérieur de soi.
Que vos épreuves soient des victoires et qu’il n’en soit pas autrement.
Je ne suis pas complotiste, sinon je serais au gouvernement.
Et qui voudrait d’un pouvoir fondé sur l’exploitation des êtres ?
Le vrai pouvoir, c’est la puissance de sa lumière intérieure.
La domination sur les êtres, c’est de ne pas en avoir.
La compression de la réalité de ses besoins par le modelage de l’énergie universelle, combinée avec la focalisation positive et joyeuse depuis sa nature divine.
S’éloigner de ce qui en détourne, en ressentant dans l’instant présent ce qui ne maintient pas dans la vibration à la vie.
Travailler l’énergie par le souffle, la connexion à la nature, l’ancrage, la méditation, le yoga, le tai chi ou qi gong. L’énergie devient palpable, malléable, vivante, nourrissante, au service de sa lumière.
Utiliser l’énergie de la matière brute environnante “avec unité” pour accroître celle de son ancrage. Faire un avec l’univers qu’importe la densité de sa forme matérielle. Les centres ville sont des lieux d’exercice parfaits pour se déployer.
Avec un sourire dans le cœur, le soleil en soi revient. On peut voir au-delà de l’agressivité apparente des êtres leur détresse et garder le sourire dans son cœur, le soleil en soi. Ainsi on utilise l’intelligence de sa sensibilité pour ne pas se mettre dans la peur et devenir une proie mais pour intégrer et déployer une force d’unité avec ces êtres, autres parties de soi-même. L’état intérieur ne bouge pas, ou s’amplifie.
Sur le chemin spirituel, du développement personnel ou de son ascension, la solitude peut se manifester si l’on se divise des autres que l’on trouve moins évolués. La distanciation est nécessaire tant que l’on a besoin de faire la paix avec ses autres parties de soi-même et les mettre en amour.
Puis la solitude devient une puissante alliée, et enfin elle ne sera plus nécessaire pour fuir, se protéger et se trouver mais pour se ressourcer.
Quand on n’est pas dans l’amour, on est non seulement dans le faux mais également dans la souffrance.
Si ton métier ne te rapporte pas d'argent, c'est que ce n'est pas ton métier. Ce n'est pas ce que tu dois faire, ce n'est pas là ou dans ça que tu es aligné présentement. Tu dois faire autre chose. Et il y a autre qui va te faire plus de bien et t'apporter plus. Ouvre toi à la vie.