Vivre dehors est la vraie vie.
Elle serait la plus simple et bénéfique sans la suprématie matérielle de l'Ombre et sa dictature (résultat d'une société malade, dégénérée, peureuse et obéissante). De ce fait, elle est la plus dure.
Je parle de vivre dehors en ville, tout en restant classe, sportif et gentleman. Vivre dans la nature est trÚs facile à cÎté. Là, ça demande soit de faire venir une grande force, soit de dépérir.
La misĂšre matĂ©rielle ou pauvretĂ© matĂ©rielle ce sont les sociĂ©tĂ©s humaines, les villes, non pas le fait d'ĂȘtre pauvre.
Cepenpant, conquĂ©rir la MatiĂšre est l'expĂ©rience suprĂȘme de l'Ăąme.

Prestations :

Programmes de développement :
programme master programme vivre dehors en ville et réussir programme eili3

Livres spirituels ebook/papier :

16 juillet 2019

Tout est un

Tout est un, tout est soi-mĂȘme

Quand il n’y a pas d’autres qui ne soient pas soi-mĂȘme.
Quand il n’y a qu’un seul ĂȘtre, qu’un seul et mĂȘme ensemble. Quand tout est la Source, la mĂȘme vie qui coule en tous et en toute chose. Une seule et mĂȘme conscience qui pĂ©nĂštre tout. OĂč peut-il y avoir un bourreau, une victime et un sauveur, Ă  part dans le plan de la division, dans l’illusion de sa propre sĂ©paration ?
Il n’y a rien de nĂ©gatif. La seule chose nĂ©gative, c’est de prendre les choses d’une mauvaise façon. Tout est lĂ  pour nous aider et nous entraider. Il y a besoin d’accepter et de lĂącher l’ego (je veux ceci et pas cela, comme ceci et pas comme cela). Car la vie ne veut pas que l’on reste figĂ©. La vie n’est jamais figĂ©e, on est la vie. Et il ne peut pas nous arriver des choses dĂ©sagrĂ©ables si nous ne sommes pas dĂ©connectĂ©s.
Le nĂ©gatif n’existe pas, tout comme la mort. Quand on se fait perdre ses Ă©nergies, on est dans le faux, et la vie nous le montre par la souffrance. Donc, s’ouvrir Ă  la nouveautĂ©, au changement, voir le potentiel de chaque expĂ©rience pour progresser, se transformer, en l’intĂ©grant avec et dans l’unitĂ©. Ainsi l’expĂ©rience change.

AprĂšs les noirs, les musulmans, les juifs, les homosexuels, les vampires Ă©nergĂ©tiques, les reptiliens, les terroristes, voici maintenant le tour des pervers narcissiques ou comment s’inventer un nouvel ennemi. DualitĂ© quand tu nous tiens… Toujours le rĂȘve, l’illusion d’ĂȘtre sĂ©parĂ©, reflet de l’inconscience. Et le monde 3D perdure.
La maya est un jeu divin dans lequel Dieu s’amuse Ă  se croire divisĂ© et Ă  se battre contre lui-mĂȘme, dĂ©truisant ses formes Ă©phĂ©mĂšres car incapable, Ă  ce stade, de les voir unitĂ©. Et dans ce chaos, la Conscience immuable regarde l’illusion se dĂ©chirer Ă©ternellement. CrĂ©ation, maintien et dissolution sont un seul et mĂȘme mouvement dans l’instant-prĂ©sent, tout se transforme ici et maintenant. Mais la vibration de ce mouvement et ses rĂ©percussions indiquent sa nature, par consĂ©quent le niveau de conscience en action. Cependant ce qui est en action est dans l’illusion car la Pure Conscience (vĂ©ritable identitĂ©) ne bouge pas, tout bouge en elle (le monde est en soi, donc tous les ĂȘtres). De ce fait, ce qui se dĂ©truit (dualitĂ© – les pouvoirs en action divisĂ©s en eux-mĂȘmes), ne sont pas amour (ombre – conscience endormie). Car le vĂ©ritable amour : la rĂ©alitĂ©, laisse la crĂ©ation libre (pur amour). La rĂ©alitĂ© Ă©tant unitĂ© tout y est parfait (vibration pure). Ce qui veut dire, que lorsque l’on voit un ennemi, on n’est pas dans la rĂ©alitĂ©, mais endormi dans son rĂȘve, et en dualitĂ©/conflit avec soi-mĂȘme, ignorant sa vĂ©ritable nature : le Tout/la LumiĂšre/l’Un.
On n’accuse plus sa crĂ©ation quand on sait qu’on est le crĂ©ateur. Tout est soi-mĂȘme, tout est son propre reflet et projection. Ce qu’on regarde est soi-mĂȘme. La diffĂ©rence est : comment s’est regardĂ© ? Qu’est ce qui en soi perçoit, l’ego (conscience rĂ©trĂ©cie – perte d’Ă©nergie – dualitĂ©) ou l’ĂȘtre divin (conscience universelle – amplification des Ă©nergies – unitĂ©) ?